samedi, avril 30, 2005
jeudi, avril 28, 2005
Latex rouge et talon haut, comme Britney.
4 Révérence(s):
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Chuis nouveau dans le manoir. Le soap, c'est quoi? Mmm, morbide et des zombies.
Par 29/4/05 13:27
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Mister le tout nouveau..
Le soap.. Ma tribune de fantaisies et fantasmes au journal du collège. Pour seul mot d'ordre, sang et déviations sexuelles.
Mmm, oui.
rl.Par reine laurence, à 29/4/05 15:14
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Réverences pour ce texte
Par 29/4/05 17:47
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Et y a un moyen de se procurer les soaps un et deux?
EdPar 30/4/05 01:12
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Ivrogne à voir 40.
1 Révérence(s):
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je crois que tu aimerais bien "La chambre claire" de Roland Barthes.
Par max cat, à 30/4/05 11:13
mardi, avril 26, 2005
Repousser ou rendre compte?
lundi, avril 25, 2005
Après faut penser.
Y retrouver le bruit de la mer.
jeudi, avril 21, 2005
Me suffirait qu'un souffle au cou pour trembler.
mercredi, avril 20, 2005
Tornade sans pile.
1 Révérence(s):
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Le mépris est grandiose, mais pas tout à fait réconfortant, pour personne.
Par 21/4/05 22:28
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mardi, avril 19, 2005
Multiple de vent.
***
Aujourd'hui le vent est dégoûtant. Souvent il n'est qu'haïssable, mais là.. J'aurais envie d'un vent frais et léger comme mes draps ce matin. Un vent en caresse qui chatouille les pores de peau. Mais le vent d'aujoud'hui il engouffre l'air, il est collant comme de la glue. Il est plus lourd qu'un assistance embarassée. Sans couler sur le visage, il passe et se colle, comme une boue, une argile pas à masque. Ça rend la joue en marécage pestilent plutôt qu'un améliorer le grain et le teint. Et le vent comme il m'aime surtout pas (il doit mal prendre que je le déteste) alors il s'amuse à me foutre des baffes qui collent mes cheveux dans mon gloss. Les jours de grand vent, en plus de protéger son cul des assauts de relève-mini, il faut en plus renoncer à se pulper les lèvres. Les jours de grand vent, sous les longs peupliers, c'est bien beau, mais pour une coquine c'est moche. Au moins yen a pour qui ça profite. Les jours de grand vent, c'est le meilleur temps pour les hommes de voler des baisers.
Toucher avec les yeux.
dimanche, avril 17, 2005
Le printemps pleut du café.
jeudi, avril 14, 2005
Ce soir, ya des gens qui ressemblent à des morts.
2 Révérence(s):
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Es-tu aussi amante religieuse?
Par 15/4/05 18:20
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Oublier !
S'évader !
S'envoyer en l'air !
Puis...
Rebondir !Par 16/4/05 16:39
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mardi, avril 12, 2005
Vision du tour des siècles.
lundi, avril 11, 2005
Lier d'espace-temps.
samedi, avril 09, 2005
Ya des jours où j'ai envie de tomber en amour.
Sous le soleil charmant, dans les bras d'un mâle mon galant, se murmurer des poésies grotesques à l'oreille en chatouille qui roucoule. Errer pendante au cou du mignon, le sourire fendu d'innocence en rose. Je me lève. PHONE CALL. C'est ça que je crie en me précipitant au téléphone appeler le mister mec. Pour faire ringner son combiné. J'ai des projets qui sautent le pollen en l'air. - Hellllllooooooo? - J'ai des envies de pigeons qui plument en visage fort, de randonnées de boue d'arbre, de main moite en béton au bas du dos. - Hummm.. - Tu me rejoins, mister galant. Je dormirai, merveilleuse, t'auras qu'à me réveiller selon le Code. Cloc. Je me buissonne pas trop loin. Endormie dehors pour la peau nacrée sous le soleil. Les mecs fondent mieux. Le voilà qui se pointe enfin. Il s'oublie de mordiller le lobe, un orteil entre les dents. BORDEL! Je dis tu touches pas mon moi sans que je volontaire. C'était juste pour rire. Sale pute, j'en veux pas du rire comme ça. Obéis. Il se réconcilie, un mignon sourire profond dans les yeux. Ai besoin d'un monsieur mec pour la journée d'amour, neh? - Je couche avec d'autres. - Je t'aime. - Ark. - Mon coeur se consumme de toi. - T'as de l'alcool? On se trouve un bout de gazon joli. Enrobés de la couverture, on se cajole. Les dents qui reluisent de plaisir. Étincelles dans les yeux, mains dans les poches. Transferts d'aliments à la maman oiseau. Les musqueuses en feu, rouge passion. Les doigts charnels, les têtes firewire de fils. La chambranle des coeurs se desquame, les cordages brûlent d'urine trop acide. Les chuchotements en manque d'appel. Souvenirs d'une nuit trop dense. Journée sous le soleil, la pluie s'ébouillante du tronc commun de bêtises folies. Mignons mignons. Mémoire en pont d'hier, c'est qu'un tête averti vaut deux salopes. Ya des jours où j'ai envie de tomber en amour. Et ya toujours je m'en rends compte. |
vendredi, avril 08, 2005
Faire vomir?
Me demande, à quel point on doit se censurer.. Si c'est fait pour être lu par d'autres.. À quel point c'est inconvenant.. Si le texte est pas bon.. À quel point on doit se censurer parce que serais la seule à trouver ça drôle.. À quel point la violence gratuite est mal acceptée comme drôle.. À quel point il faut bien écrire pour avec méga style pour que les histoires horribles passent en courant d'air d'acceptation des débiles prudes.. Merde à l'éthique. M'en fouts mais.. Rhalala. |
4 Révérence(s):
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Par J. Walters, à 9/4/05 16:00
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Depuis quand le questionnement est-il une activité de monarque?
Ordonne l'exécution et lave-t'en les mains, bordel, t'as le trône pour te soutenir.Par J. Walters, à 9/4/05 16:03
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C'est que parfois.. le peuple.. j'ai des accès de bonté..
Tu m'as décroché un sourire, coquin.
rl.Par reine laurence, à 9/4/05 20:59
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ah. désolé.
Par 10/4/05 12:35
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Pourrait-on dire que ce sont les esprits vides qui créent le mieux?
Je me suis levée ce matin de bon pied en pleine euphorie. Pour rien. Que total le vide qui m'habite, mais ça me rend toute bien, que plus facile à être. Pleine d'énergie qui se tait pas, juste la joie d'être là, sans plus aucun fardeau d'histoires quelconques qui parfois en sont même pas. Une fraîcheur dans mon tête, un vide de malheur, de pseudo-problèmes, de nostalgie ou n'importe. Absence aussi de grand bonheur, de nouvel amant, d'alcool frais ou de fêtes somptueuses. Un neutre qui laisse la place à l'apprentissage et la création. Je me suis toujours demandée comment Rimbaud faisait pour lire autant, en telle vitesse un nombre si important d'oeuvres. C'est que trop souvent je chamboule ma lecture pour partir dans mes propres créations d'idées, de rêveries. Habitée par des histoires d'hier, à revivre encore pour être certaine de bien se rappeler, faut pas faillir la mémoire. Il y a trop longtemps que je réussissais à bien me concentrer sur n'importe. Certainement j'ai pu souvent être entraînée dans une motivation quelconque, mais ça finit toujours par passer, c'est pas pour rien que j'ai des milliards de livres interminés. C'est plutôt qu'ils attendent que j'aie le temps, que je me sente parfait dans l'état de l'atmosphère de ce livre. Ces habitations de pensées m'ont toujours fait bifurquer de mes études ou créations, mais c'était quand même intéressant. Pour je sais pas quelle raison, me voilà avec aucune histoire, avec rien qui m'importe vraiment. Tout a fini sans que je le veuille vraiment, c'est seulement arrivé (comme trop de choses). Enfin je peux me concentrer sur mes études, enfin je me sens aller vers une vitesse qui est tellement plus près de ma vitesse d'apprentissage, rapide comme pas connu. Frénésie. Transcendée je me disais. (et Poupart rirait) Transcendée par le vide. Un vide foliaque. La folie pure, claire comme la pluie en plexus solaire, qui rencontre le sol chaud l'été et fait des vapeurs à enfler toutes les têtes. C'est beau la passion. Je me donne tout entière au montage, tendre renouveau de notre union, maintenant né pour écrire d'une main sinon plus habile, avec plus de plaisir certain. Me voilà qui abandonne mon corps sans remord, je serai laide et m'en fouts, je plonge dans les plaisirs de tête, faut dire que le montage m'a sûrement donné autant d'orgasmes que les hommes. Seulement pas du même type. Par l'inexistant je renouvelle ce qui trop longtemps s'est éclipsé par des conneries d'enfant débile. Me reste à affronter le noir, mais on m'annonce un soutien de routine. Alcool tendre bouffon. |
jeudi, avril 07, 2005
Sémiotique visuelle.
Pire que face au vent.
Je suis en colère contre le monde. Entier. Sauf peut-être deux sweet anciennes copines. Mais suis en colère. À fond. J'en ai plein le cul. Je déteste le monde car s'il n'existait pas je n'aurais pas mes faiblesses. J'espère me rincer les idées demain au théâtre gore-trash-métal. Et au soap (du travail comme le théâtre). MONDE! Je t'encule même pas parce que t'aimerais trop ça je crache pas parce que ça étancherais ta soif et je ronge pas parce que t'es trop bien ficelé. Ce soir je me sens tout homme en femme. J'ai enfilé un pantalon. J'ai la grande classe, me manque que le chapeau melon pour l'effet tuxedo complet. Et mon crochet. Ce soir suis plus dandy que tous ces pauvres couillons qui en manque de style rapiècent leurs estimés. Leurs mixages seraient dignes de l'humain? Même l'humain vaut mieux que ça. |
lundi, avril 04, 2005
Mes châteaux sont pas en Espagne.
J'ai débuté mon soap. En fait, je me suis lancée tête première à l'écriture dès mon retour des dépenses obligatoires. Écrit tant et encore que mes globes occulaires souffrent, comme si j'avais finit un long montage. La grande concentration. Yavait longtemps que j'avais écrit dans cette rage. Mais c'était une idée que je couvais depuis longtemps, restait qu'une certaine narration à développer. Mais faudra réécrire car ça pu l'influence dans l'idée d'imaginaire. Ya trop de vapeurs du Lord of the ring, version campagne mal famée. Et puis ma passion toute récente de la bd, les superhéros en couple et des zombies sur le corps de Britney. Les idées foisonnent et ça sera laid, mais on s'en fout c'est mon soap à moi. J'en ferai peut-être le don de publication, faut dire que notre journal maudit il est triste de création au-dessus d'une barre minimale. Je froussarderai les petits prudes du langage. Mon premier épisode s'est accouché en gros bloc brute et comme le soap est pas dans mes habitudes, suivrai pas mes habitudes donc et j'ai le retravail intense pour celui-ci. Un cran juste en-dessous du théâtre. Alors la motivation d'y passer la nuit si je le sens faut que je le fasse ça respira plus tard. Mais là crise peut-être au semblage futile mais merde l'imprimante qui me sort que la moitié du texte je fais quoi moi la nuit durant pas de possibilité. Et mes yeux meurent à l'écran. Impuissante, je crise. Je crise fort, ouragan partout dans la maison je crie et j'écris des messages de haine gros comme le bras. Ça calme. Mais toujours pas de résultats. J'ai pas que ça à faire, attendre que quelqu'un s'occupe de mes problèmes matériels. Pourquoi j'ai pas encore de majordome, de lord, de valet de pied, de camériste, je sais pas, quelqu'un! Désemparée je me tape trois popsicles à la suite, ça calme un peu. Ma soeur me traîte de fille ingrate. M'en fouts on n'avait qu'à pas me traîter en princesse en mon enfance. Me remettre à ma place quand les rêves d'enfants m'ont pas quitté. M'apprendre à maturer. Me foutre dehors pour me montrer c'est quoi la "vraie" vie. Et bien je ferme les yeux bien rapidement. Je fais le nécessaire pour qu'on me laisse rêver en paix. Et surtout que je réaliserai mes rêves, ma vie portée à la totale réalisation de mes fantasmes. On peut toujours tout réussir, faut seulement pas se donner de limite dans les moyens et dans le temps. On m'a toujours répété que j'étais la meilleure la plus belle. J'ai juste fait l'erreur de le croire. En total. Suis peut-être une sale égocentrique, mais entrez dans mon tête un petit instant et comme les autres vous allez vouloir mourir dans mes bras, sous mon royaume fermer les yeux. Les liaisons dangereuses apprenaient qu'on ne développe pas ce dont on a pas besoin. On m'adore sans que je sois douce et conciliante. Au fond, l'indifférence est la plus grande facilité à la vie. |
samedi, avril 02, 2005
Militante avec style (de plume).
2 Révérence(s):
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Le monde ne tourne pas autour de toi, Laurence. Le jour ou tu vas le réaliser et quitter cette peau narcissique que tu as l'air de trouver si cool et que tu empruntes pour te protéger de je-ne-sais-quoi, tu auras fait un bon bout de chemin.
Ce n'est évidemment que mon très humble avis. Je ne suis pas reine, moi.Par 2/4/05 13:50
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Chérie..
Il y a une majeure différence entre aimer penser et penser. Faut savoir lire. Et puis, faire un bon bout de chemin, je veux bien, mais vers quoi?
rl.Par reine laurence, à 4/4/05 16:30
2 Révérence(s):
"J'aimerais des événements que je ne crée pas et en même temps que je redoute. N'importe quoi. Juste quelque chose."
Eh ben généralement, chuis tout indiqué. T'as envie de balade dans l'bois à minuit? Tu veux faire un braquage à main armée avec moi? Peut-être que je pourrais t'amener à la chasse au loup-garou?
Sinon, il nous reste à regarder la boxe à la tv, ou ben passer à l'étape des paragraphes privés.
Ed
Par Anonyme, à 30/4/05 10:46
Pas mal de bonnes infos sur les rencontres ici.
rencontre coquin
Par Anonyme, à 30/1/06 20:14
Pour s'incliner
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