Ze manoir

vendredi, mai 23, 2008

Plan foireux.

Je retourne dans du connu. Ça me fait drôle, bizarre, contradictoire. L'emloi de l'été qui s'est déjà passé il y a quelques années. Rien à me faire réfléchir, le grand défi c'es de réussir mes mousses de capuccino. Ils disent qu'une mousse ne peut pas lever si la fille a ses règles. On verra. Je vais moins errer à la maison, je vais plus souvent travailler, le tout en me convainquant chaque jour plus profondément que je ne suis pas faite pour travailler. Je ne comprends pas les autres. Comment chacun peut-il se rendre chaque jour au travail, y passer sa journée sans avoir des envies de révolutions ? Chaque minutes travaillée qui s'écoule et s'égoutte en monnaie dans mon compte de banque m'écoeure, me donne une si petite nausée que c'est à la longue, en regardant en vue d'avion qu'on arrive vraiment à savoir. Mais je suis à l'écoute. Et je sais. Je fais des rêves de bourses, de résulstats scolaires parfaits qui mènent à des bourses énormes, mon inconscient travaille à me rendre l'espoir. Au bureau, je rêvasse du manoir, j'élabore des plans, la décoration. Je me fais une routine de femme à la maison. Version avec et sans enfants. Version Montréal et campagne. Je monte les blocs d'une autre vie, en attendant. Je déteste la nécessité car elle en est une. C'est contre moi.

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Pour s'incliner

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autodidacte