Multiple de vent.
Aujourd'hui la sale pute de vent (même si c'est une entité masculine), alors cette sale pute souffle plus fort d'heures en heure. Et moi qui supportais pas mon pantalon d'interprétation de Wilde, me voilà par caprice confort dehors face au vent. Et le méchant s'aggrippe aux tissus et les poussent loin loin de mes fesses. Ya de bonnes chances que certains aient vu mon cul. C'est pas si dramatique, suis presque habituée. Et ça leur aura fait leur petit nanane de la journée, c'est quand même pas une horreur à voir. S'il fallait se formaliser à chaque fois que mon corps se montre moins pudique plus de peau. Mon cul a été tant vu qu'il appartient au domaine public. Il devrait bientôt être apposé du sceau du Patrimoine Canadien. Le vent est une sale pute qui s'acoquine facilement des sales voyeurs.
***
Quand je décide d'accepter le vent et qu'il vente parfait, style frais léger, doux et qui amène du vaporeux dans des rideaux tulles, alors ce vent qui vient chatouiller entre les jambes, qui tourbillone contre les cuisses, s'engouffre sous la mini, quand ce vent est parfait, c'est parfois meilleur qu'un homme.
***
Aujourd'hui le vent est dégoûtant. Souvent il n'est qu'haïssable, mais là.. J'aurais envie d'un vent frais et léger comme mes draps ce matin. Un vent en caresse qui chatouille les pores de peau. Mais le vent d'aujoud'hui il engouffre l'air, il est collant comme de la glue. Il est plus lourd qu'un assistance embarassée. Sans couler sur le visage, il passe et se colle, comme une boue, une argile pas à masque. Ça rend la joue en marécage pestilent plutôt qu'un améliorer le grain et le teint. Et le vent comme il m'aime surtout pas (il doit mal prendre que je le déteste) alors il s'amuse à me foutre des baffes qui collent mes cheveux dans mon gloss. Les jours de grand vent, en plus de protéger son cul des assauts de relève-mini, il faut en plus renoncer à se pulper les lèvres. Les jours de grand vent, sous les longs peupliers, c'est bien beau, mais pour une coquine c'est moche. Au moins yen a pour qui ça profite. Les jours de grand vent, c'est le meilleur temps pour les hommes de voler des baisers.
***
Aujourd'hui le vent est dégoûtant. Souvent il n'est qu'haïssable, mais là.. J'aurais envie d'un vent frais et léger comme mes draps ce matin. Un vent en caresse qui chatouille les pores de peau. Mais le vent d'aujoud'hui il engouffre l'air, il est collant comme de la glue. Il est plus lourd qu'un assistance embarassée. Sans couler sur le visage, il passe et se colle, comme une boue, une argile pas à masque. Ça rend la joue en marécage pestilent plutôt qu'un améliorer le grain et le teint. Et le vent comme il m'aime surtout pas (il doit mal prendre que je le déteste) alors il s'amuse à me foutre des baffes qui collent mes cheveux dans mon gloss. Les jours de grand vent, en plus de protéger son cul des assauts de relève-mini, il faut en plus renoncer à se pulper les lèvres. Les jours de grand vent, sous les longs peupliers, c'est bien beau, mais pour une coquine c'est moche. Au moins yen a pour qui ça profite. Les jours de grand vent, c'est le meilleur temps pour les hommes de voler des baisers.
0 Révérence(s):
Pour s'incliner
<< Manoir