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jeudi, février 23, 2006

J'espère qu'ils avancent vite.

La journée se déroulait et tout allait bien. Ai rencontré toutes mes meilleures copines, une à la suite de l'autre, prendre plein de nouvelles et de plaisir, ça clenche une journée en relations sociales, ça économise les activités avec chacune, aussi. Ai l'impression d'avoir rempli ma grille sociale et peux donc maintenant m'isoler et rêver tranquille. Pas de problèmes, je dis, tout se passe bien. Depuis maintenant longtemps (à mon échelle), sais ce que je veux faire. Ai finalement choisi quelque chose pour poursuivre mes tendres études, n'avais plus aucun tracas avec ça. Mais là, tout se précise, à force de lectures et de coups de coeur percutants, me vois de plus en plus dans un chemin nouveau qui suit ce qui me plaît et où je m'étais engagée (me connais si bien..) mais là c'est l'isolement qui sonne. C'est qu'ya pas tellement de gens qui s'y adonne, je me dis. Bien que de plus en plus, je découvre l'information qui m'étais caché, m'assure que les ressources sont en place et n'attendent que mon éclat pour fleurir. Encore là, ça peut passer. Mais en fait me rend compte que ne suis pas du tout dans l'angle qu'il faudrait pour atteindre les bonnes choses. Ils sont trop pratique. Pour l'étude, suis persuadée qu'il me faudrait des études ailleurs, dans la création plutôt que dans les bouquins. Mais ai pas l'intérêt. Et peut-être même pas le talent (mais ça, ça se discute..). Il ne me reste qu'à me fier à de terribles coups de chance qui m'apporte la sympathie et mon attachement aux bonnes personnes. Suis horriblement timide. Sera un défi. Mais y arriverai. Sais bien que serai pas toujours plantée là, même dans ma nouvelle cage de Verdun.

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mercredi, février 22, 2006

Ça vient comme un gros paquebot.

Je m'en vais bientôt et pour moi tout semble étrange et trop rapide. Pas vraiment trop rapide, mais ce n'est pas comme ce que j'imaginais. Comme les filles qui pleurent après leur mariage, passe que c'est pas comme ce qu'elles avaient rêvées toute leur enfance, petites filles. Je pensais partir comme une tornade, comment? je ne sais pas, mais comme une tornade, c'est certain. Mais là tout me semble trop facile, pas assez d'inconfort et de vie morne et moche comme on lit dans les romans. Il va me falloir changer de style, choisir une comédie romantique de l'année, sûrement. Le plus grand éclat serait de causer la mort de mon couple. Ou de fracasser la machine à espresso au sol. J'aurai déjà mon petit luxe façon la chance, en plusse de mon petit lapin, Princesse, ce mignon minuscule, un hamster à longues oreilles. Tout semble nu peu précipité, comme si je fuyais quelque chose, mais rien. Tout roule et baigne dans l'huile, même Derrière mon garage vient d'être publié sans problème, mais reste nul et sans imagination. Je serai pôvre mais douillette, toujours en prélassement si l'envie me dit. Au fond, c'est bien ce qu'ils disaient, ce qu'on disait, aussi. Les nobles ne perderont pas noblesse faute d'argent. Évidemment, c'est une question de sang (ça fait sexy).

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  • nan c'est pas une question de sang, c'est une question de style, have a good trip!

    Par Anonymous Anonyme, à  23/2/06 03:55  

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lundi, février 20, 2006

Être nue, pour économiser.

Je vais être pôvre. Vraiment total très pôvre. Genre qu'il va falloir que j'emprunte des magazines de mode à la bibliothèque au lieu de l'acheter. Que pourrai pu cuisiner mes petits plats selon mes envies. Que courrai la bouffe gratuite encore plusse que durant la grève. Je ne pourrai plus m'acheter de vêtements. Metterai à profit ma nouvelle machine à coudre, pour modifier ce que je trouverai à moins de 5$. Me ferai des amants jusse pour renouvler mon kit de lingerie. Et espérer une sortie au restaurant, ce qui m'économiserais la nourriture d'un souper. je deviendrai maigre et en hiver, me faudra boire des tisanes de résine de sapin, pour ne pas perdre mes dents. Devrai reporter mes vieilles lunettes, du temps que j'étais laide et que j'avais l'air d'un mec, devrai porter ça passe que mes lentilles finiront scrap, loin, déssechées pas l'alcool. Boirai pour oublier ma faim. Voudrai vendre mon corps en escorte, puis en pute, passe que la différence.. Serai incroyablement pôvre. Me reste que l'avenue d'être encore plusse excellement bonne pour avoir d'autres bourses. Du moins, exit l'opulence, finit les dépenses inutiles qui me font sentir vivre, qui me prouve mon existence lorsque je regarde les tas d'objets amassés un peu partout dans ma maison. Passe que les aristocrates, ils se changeaient au moins trois fois par jour, selon l'activité, selon le temps du jour, selon les invités. Tendres aristocrates. Vous me manquerai, éloignés, seulement disponible dans mes rêves. Oui, d'ici peu, serai terriblement pôvre. En espérant que ce mode de vie que je sais déjà ingrat à la qualité de ma personne, n'affecte pas trop la qualité de ma peau.

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  • :)) c'est si aristocrate d'être pauvre, tellement + qu'être petit bourgeois! hanhanhanhan

    Par Anonymous Anonyme, à  21/2/06 06:43  

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vendredi, février 17, 2006

J'irai à Verdun, on dit que Patricl b. y est né.

Je dis toujours que j'ai de rêve de vivre dans la petite vie routine à être la mignonne ménagère. Peu me fait plus saliver que d'avoir toutes les tâches d'une mainson à remplir, à m'imaginer recoller des bibelots pendant que mon ragoût mijote lentement et passer mes soirées à broder des vêtements de bébé, préparer mon trousseau. Tout ça alors que le père répare des chaises en gossant des morceaux de bûche et qu'une autre frotte le plancher de bois d'une brosse récurante et fini par l'enduire d'une patine glissante qui brille comme le sang d'une peau de vache. Tout ce fantasme pour aller magasiner du savon pour les mains et moudre des graines pour de petits pots d'épices. Même chose dans l'essence merveilleuse de plier des serviettes de bain et d'alligner ses petits pots de crème, s'inventer une routine beauté qui ne tiendra qu'une semaine, si on a le temps. J'ai depuis tellement longtemps envie de ça, et ce n'est pas que ça arrive jamais. C'est que. Ça fonctionne pas. Ça veut pas que suis total organisée, que tout roule comme supposé dans les paradis ménagers. Ya des gens qui sont arrivés à me dire que ça faisait leur envie. Mais il me semble que c'est ainsi pour tout le monde. Comment réussir l'idéal. Je pige pas. De toute façon, c'est connu, l'idéal se trouve toujours ailleurs. Préfère m'amuser de fantasmes que de me rendre malheureuse et tourmentée par une autre vie que je voudrais avoir. J'y travaille sans regarder, c'est tout.

2 Révérence(s):

  • Patricl? Tu me prends pour une divinité Inca?

    Tout à fait vrai pour mon lieu de naissance. Sur la rue Cool, imagine. Oui oui. C-o-o-l. Pour l'adresse exacte je peux demander au paternel.

    Ciao

    Par Blogger PatB, à  18/2/06 00:10  

  • ton idéal de vie uncool n'existe plus depuis deux siècles... ou bien dans les campagnes très isolées (?)

    Par Anonymous Anonyme, à  18/2/06 10:07  

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mercredi, février 15, 2006

Je fais sentir le papier.

Dans mes rêves fantasmisques qui vont avec celui de posséder une belle maison en campagne et de faire de la popote à longueur de journée en portant un tablier et de devenir grosse et jouflue, dans le même type d'idée, il y a celui de m'installer dans le suberbe salon qui surplomberait le lac privé qui serait une partie de la cour de mon domaine. De grandes fenêtres pour recevoir la lumière douce et bleue (on ne fait pas la balance des blancs) de l'après-midi, un feu dans l'âtre et m'installer par terre, sur un tapis moelleux, plein de couleurs pseudo-classe de rouge bourgogne, etc, pour faire un peu persan qui longe les couloirs de châteaux. Donc cette installation avec méga espace et surtout aucun animal pour venir me déranger, on ajoute à ça une durée d'une semaine, en débranchant tout contact avec le monde extérieur, je mets chaque texte écrit sur papier, tout imprimer et à la mort l'environnement et sottises de forêts, tout cela pour faire un superbe ménage de mes notes. Ce qui ne prendrait peut-être que deux jours. Mais j'ai un esprit de classement assez dévelloppé. Et donc qui mène à rien. Passe que rien n'est assez classé. Rien n'a l'ordre idéal, surtout qu'un début de classement ne mène qu'à la disgression. Me perdre dans l'envie de prendre d'autres notes. Par chance, n'ai pas l'intérêt d'apporter une finalité à tout cela. Sinon, serait déjà loin morte dans un canal. C'est comme essayer de tout prévoir les coups aux échecs. Ne suis capable qu'avec les araignées, faut que ça vienne chercher les trippes, comme il dirait, pour qu'on bouge quelque chose. C'est qu'à peine quelques années de vie et encore moins d'écriture, j'ai tellement de note qu'impossible de s'y retrouver, mais ça, c'est évident, ya pas d'autre avenir pour les notes. Finir cachées sous les meubles, pêle-mêles, jusqu'à ce qu'elles bloquent l'aspirateur et finalement se fassent retrouver. Tout cela pour ma bêtise de poursuivre, en me disant que ça m'aide comme une seconde mémoire, passe que me suis habituée à tout me souvenir (même si je feins si souvent du contraire, passe que c'est si facile d'être ignorant et ne rien savoir est tellement moins pire qu'être convaincu et dans l'erreur) mais là ya trop de choses qui s'accumule et les jours passent et suis toujours persuadée de mon génie, du moins face à moi, et par chaque mot foulé sur une page, j'espère y entrer toute ma pensée, des mémoires désespérées. J'aurai toujours peur du temps.

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samedi, février 11, 2006

Grillée comme une vieille clope.

Je n'aurais jamais cru qu'il fut aussi dur d'être une nymphomane non clinique. Ça paraît gros à la déclaration facile pour attirer les yeux sur mon cul pour faire voir des idées pas claires. Ça sonne cliché dans le genre on veut pas le savoir c'est pareil pour tout le monde, bitch. Maisje me plaint passe que me reste pu beaucoup de temps avant de me faire taire par de sentis shut the fuck off la grosse. Je sens ma vieillesse prématurée, signée d'usure. À 20 ans me retrouverai sur le cul à rien faire passe que démolie de partout. Je déteste les signaux que le corps peut envoyer. C'est inutile. Ça brûle, ça tue de douleur et ça empêche tout le reste de venir, de plaisir et de fréquents meow. Passe que ya pas si tant tellement autre chose. Les magazines de mode peut-être. Encore là. Passer le temps au coiffeur. Je crois que je vais mourir si je me retiens encore de hurler. Suis marquée au fer rouge comme une pauvre vache qui attend de se faire branler les mamelles pour se sentir bien, enfin. Ai la fidélité collée au cul qui m'empêche de soulever ma jupe à découvrir mes fesses sans me faire rougir encore plusse, si c'est possible.

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vendredi, février 10, 2006

Je ne porterai pas la jupe d'écolière.

J'ai recommencé à lire des livres. Avais pas vraiment le choix, mes cours ont repris et ils me disent de lire des livres et moi je fais du zèle j'en lis toujours plus et je suis la jeune fille la plus studieuse du moins que je pourrais être. J'ai replongé dans dix-huit mille bouquins en même temps, me suis empêtrée dans tous les projets possibles. Tout irait bien mais il me faut écrire en plusse de lire. Ça bouffe le temps. Ça m'apporte plus de médisances qu'autre chose. Ya pas à se demander pourquoi j'écris toujours pour moi avant les autres, si je ne peux réellement les écartés (surtout si je publie..). Ça me fait bizarre, de lire un livre. La texture du papier n,est pas pareil. Le format entre souvent dans un minuscule sac. Je ne me sens pas vraiment étrangère, j'ai retrouvé ma ferveur de ne jamais écouter les gens qui disent qu'il faut lire tel livre lentement, passe qu'il se savoure et qu'on manque tout sans l'apprécier à se précipiter. J'esaie seulement d'en avaler le plus possible avant d'être malade et de replonger dans une crise de laide et sale feuilleter des revues de mode. J'attendais ce retour d'obligations de faire ce que j'ai envie, mais là le faire vraiment pour vrai, tsé. Pourtant, je sais que bientôt mon intérêt va redescendre, passe que trop d'analyses qui mènent à rien et trop de critiques foireuses qui n'affinent pas ma culture mais mon snobisme. J'aurais vraiment dû avoir un précepteur.

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mercredi, février 08, 2006

Comme si informatique rimait avec trashy sexy en cuir svp.

J'aurais aimé être une geek. Ou plutôt un geek. C'est certain que j'aurais été triste d'en être un si j'étais née comme ça. Mais là, le suis pas. Je fais des efforts, je travaille pour me développer des intérêts, pour me faire amie avec des gens du milieu. Mais ça fonctionne pas vraiment. Ça me déçoit. Comme si j'étais tros cool naturelle et que ça me colle à la peau. Voudrais être un geek passe que tout le monde veut tellement être cool et reconnu et en pleine face éclatante du monde, mais au fond, c'est tellement plusse cool un geek. C'est underground. C'est marginal à sa façon. En plus, ça sait de quoi ça parle. J,adorais être geek, mais j'y arrive pas. Peux pas me caler dans une discipline type. J'ai échoué à jouer à donjon-dragon. J'ai choké informatique, électronique ou programmation. Ai même pas réussi à m'initier à la coupe de viande. Suis comme destinée à rester une pauvre fille ordinaire qui connaît rien de vraiment différent. Qui ne peut vivre qu'à travers les autres. Qui feuillette ses magazines de mode en rêvant d'une carrière de mannequin international jusse pour faire baver les grosses. Mais moi-même je deviens grosse. Suis vouée à l'échec qu'on pourrait croire. Pourtant. Je poursuis cette espèce de construction (passe que la déconstruction est depuis trop longtemps fashion, ça fait seulement wannabe trash). Ça mène à assez rien de visible et qui se sait pas et ça se résume à tous les conséquences des vices d'une société malade qui terrorise les enfants d'un monde sans retour. Genre de fille désillusionnée qui se terrasse volontairement pour avoir le droit d'accuser en plein cinisme, passe que ça sera toujours l'arme compétente des gens qui sont si tellement intelligent. Yeah, right. En attendant, j'aimerais tellement être un geek et avoir cet ordinateur noir et vert et attendre que la matrice me délivre.

3 Révérence(s):

  • cynisme, avec un "y" :

    Les gens de la matrice ont entre leurs mains la destinée d'une planète? Soit. Mais leur combat pour le "bien" n'a pas plus de valeur que celui d'un humain ordinaire programmé, puisqu'il ne fait qu'assurer la pérennité d'une espèce inutile, a fortiori aliénée. Alors?

    Alors ils servent, ultimement, à rien! Welcome to the M.A.T.R.I.X.

    Ô Resne
    se vostras j'estois
    m'contentrai la fortz.

    Par Blogger J. Walters, à  9/2/06 01:41  

  • ça peut être sexy un geek, ça sert grave à quelque chose quand on y connaît rien. Qui combat pour le "bien"? on combat pour survivre comme des rats

    Par Anonymous Anonyme, à  9/2/06 06:40  

  • ...
    http://20six.fr/diverje/page/641

    Par Anonymous Anonyme, à  10/2/06 01:04  

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mardi, février 07, 2006

Nue.

J'arrive toujours pas à écrire quoi qui vaille pour le journal et ne serai pas dans la première parution ni dans le festif du trente ans du journal mais m'en fout passe que si c'est pour vanter toute la merde accumulée, alors j'embarque pas. Suis certaine qu'à chialer à ma manière critique, serait encore censurée. Passe que ça plaît pas et le pouvoir ça ça plaît. On verra bien. Mais me faut recommencer à écrire. J'adore mes semblant de célébrité. J'adore pouvoir mettre des visages sur ces mecs de 17 ans qui m'avouent adorer mes textes et sont presque à me faire signer des copies collées. Mais je tombe facilement dans les vieilles habitudes et j'ai pas décidé de changer ma chronique pour rien. Un autre ton à adopter, faute de pouvoir vraiment changer de sujet. De toute façon, en gros, le sujet, on s'en fout. Faut jusse savoir l'écrire et dire de l'impertinent, malgré tout. À la place de m'attabler et d'engouffrer tout ce travail one shot pour en finir et savoir que c'est seulement dans deux semaines le reste, m'amuse à contenter mama et faire la belle pour des aveugles qui me trouvent mignonne, malgré tout, encore. Une mignonne qui les fausse dans mes détours ratoureux, une critique où on s'amuse et voilà une école au complet à mes pieds. Qui voudrait savoir aligner des mots, eux aussi. Bien entendu que toute cette attention de loin me fait plaisir. C'est du rapporter, ai pas à me montrer modeste. Mais tout de même, ai limiter mon glam, pour m'assurer de pas mourir tout de suite tuée par des jaloux à succès. Passerai le shinny fetish dans ces textes à cracher plutôt que dans ces bottes merveilleuses golden au talon huit pouces cowboy baby. Suis rendue à vivre en pauvre pour aller me faire baiser chez les maharajah indous. Faut voir.

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vendredi, février 03, 2006

Mon jeu nintendo.

Tout fonctionne merveilleusemetn bien si ce n'était que de mon futur retour au collège qui me plaît énormément, je m'ennuie chez moi, mais surtout qui ne me laissera que du temps pour écrire, non pas par goût amis par dépit, des heures passées à fantasmer dans des livres de sémiotique et des revues de montage pour lancer des grands mots et me croire plusse compétente. Et finalement commencer ma revue où il faudra utiliser encore plus que mon charme légendaire (yeah) pour faire valoir mes coups de génie, bien entendu trop peu souvent reconnus. De là ya du plaisir et surtout j'ai passé une journée total à fouiller pour mon super nintendo et je passe ma vie à jouer et si j'étais une once nostalgique je crois que j'aurais pleuré mon enfance, mais je pense pas avoir assez évolué pour avoir perdu quelque chose de grand. De toute façon, je m'habille beaucoup mieux maintenant. Dire qu'avant, j'appréciais avant tout ce qui apportait le confort. Isâ est comme un jeu vidéo. Elle change pas jusqu'à ce qu'on la rallume à soi. On n'a pas vraiment à rattraper le temps perdu. Yen a comme pas. Comme tsé. Et mon jeu vidéo il se conserve dans son plaisir et il finira je sais pas quand, j'espère pas en voir le bout. Avec isâ, je pense pas que ça va arriver. Si yavait un feu, je sais pas qui je sauverais en premier. Isâ doit courir rapidement si elle a le feu au cul. Mon jeu nintendo, lui, il risque d'intoxiquer les gens en brûlant. C'est du plastique. Et toutes les mauvaises âmes des méchants. Ça donne beaucoup de fumée noire. J'en parlerai à isâ. Elle a toujours de sage conseils. Ça m'occupe beaucoup toutes ces pensées. En plusse ya encore tous ces gens qui surchauffent autour de moi. J'arrive parfois à être moins affolée. J'arrive parfois à presque m'habituer. Il me rentre presque en tête que suis en couple. C'est encore bizarre. Mais je me demande parfois si c'est pas mieux que les vieilles racailles. Ahhh. Je me laisse convaincre. Ils surchauffent mais moi je vois bien que je ne change pas. Suis toujours la même au sourire mignon. C'est que j'accueille bien, veut être une bonne hôtesse, et ya pas de discrimination à faire qu'ils disent dans les livres. Bien que si je gère trois copains, pourrais avoir plusse de cadeaux de st-valentin.

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  • Image de Super Mario II.

    La princesse lance des radis à trois personnages roses et masqués. Un coeur flotte jusqu'au ciel, où elle le cueille avant de chuter dans un gouffre.

    Par Blogger J. Walters, à  5/2/06 15:11  

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mercredi, février 01, 2006

J'aimerais devenir une princesse chinoise sans faire plus d'effort.

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autodidacte