Ze manoir

dimanche, janvier 30, 2005

Je marche de retour chez moi suite à une soirée. Je sursaute: oh! Je pensais qu'ils avaient installé une grande affiche publicitaire, grosse lumière et tout, dans mon même petit quartier de banlieue. merde. Ban non. C'était juste la Lune. Depuis quand la Lune est cet énorme? Ça faisait peur. J'ai accéléré le pas, me sentant plus protégée à la maison, une orange à la main, c'est meilleur et plus petit. La Lune, elle était pesante comme un sein trop lourd, pas ferme du tout. Menaçante je dis. Faudra porter des verres fumé même la nuit. Ça devient dangereux..
***
J'ai le constat que je n'écris rien, mais vraiment total rien depuis peut-être jusqu'à un mois. Bon, on le sait. Je n'ai plus ce besoin de créer. Comme je ne sens pas le besoin de publier. Mais créer.. C'est nécessaire. Un besoin, mais ma pause de Fêtes m'a coupée. Je pense craindre la douleur sublime de créer. Comme lorsque j'ai écris ma première pièce. Rien ne venait, mais je l'ai tout de même écrite. La souffrance elle était physique. Terrible douleur. Je voulais en pleurer d'écrire. Et faut repasser par là? Je suis faible. Je ne craindrai plus. Maintenant que je le sais. Même si c'est moche, il faut l'écrire. En plus, les autres-débiles aiment bien souvent. Tss. Monter une pièce aussi nulle et sans finesse. Tss. Demain, je me le fais. Je me replonge dans cette horrible souffrance. Serions-nous pas tous un peu maso au bas fond?

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

samedi, janvier 29, 2005

Ça va toujours très mal. Je veux écrire. Je sens qu'il faut que j'écrive. J'ai le besoin d'écrire. Mais je n'écris rien. Du moins, rien de bon, rien de pertinent. Mon retour au collège m'a donné un gros coup, je lis comme une défoncée. J'écris beaucoup, surtout pour me divertir de mes cours pour rien dire pour noter mes réflexions de lectures. Ça donne rien. C'est moche. Toute écriture, j'arrive seulement à une forme de journal, journal dans mes cours, journal pour mépriser, pour noter, toujours du journal, mon esprit à la seconde de la lettre. Et c'est moche. Je veux créer. Je peux écrire, mais créer, ça fonctionne pas. Je sais pu quoi faire. Suis entrée dans le convainquement du tourbillon impossible des Fêtes, je peux pu rien faire. La pause était horrible dans ses résultats. Je suis face à ma tempête et je peux seulement pas bouger. Un gros sushi, empêtré dans ses algues. Merde. Je pense, pense, pense. Trop justement. J'arrive pas à dépenser mes idées pour les mettre belles. Cet état de corps est plus souvent fréquent. Faut l'ammener en état d'esprit. Et espérer que ça fonctionne. Je vais faire un voeux dans mon mini-temple.
***
Face à tous les problèmes théoriciens, avant d'essayer d'y même réfléchir, je remonte à la source. Et presque toujours, j'en viens à la conclusion que c'est la vérité qui sème le trouble. Recherche de la vérité amène trop souvent une torture idélisque. Vouloir trouver une vérité objective. J'ai cessé d'y mettre du miens. La beauté en toute relativité est belle elle se laisse porter ou domine mais elle est propre aux idées de tous sans contredit. Tant qu'on reste attaché à la vérité on est au moins partiellement aliéné.
***
Je pense poursuivre écrire une partie deux à Charles. Texte magnifique. Trop magnifique qu'il me fait peur poursuivre ne pas être à la hauteur. Jj'ai tellement rien qui me vient, utiliser les vieilles idées (bien que celle-ci soit perpétuelle) est la solution aisée. Depuis quand je recherche l'aisé? Mais je me sens peut-être prête. Faut être dans un état critique pour Charles pour assurer. Il y a si longtemps que j'ai reçu un moment à ajouter à mon "autobiographie" Les états critiques. J'écoute Le locataire de Polanski ce soir. L'ai jamais vu. Pourtant Charles en est inspiré. Faudra voir si ça amène d'autre..
***
Je débute et termine à l'instant Les atmosphères de Jean Aubert Loranger. 1920. Très bien. Des poèmes en prose. Assez facile de lecture. Reste dans l'idée un peu campagnarde du Québec de l'époque. J'y retrouve une correspondance avec l'oeuvre de Saint-Denys Garneau. Même rapport à la nature. Pas les mêmes sentiments. La prose pour lui. Poète majeur selon Poupart. Connais si peu je sais pas. Court. C'est un mignon enchantement cristallin d'une rivière qui coule argent sur les roches mousseuses.
***
Discussion sur mon avenir collégial et universitaire avec mes parents. Si j'aime vraiment la littérature. Quoi! Ils me connaissent si mal que ça? Si j'aurais mieux fait de continuer en cinéma, pour m'épargner une troisième année. Quoi! Ils désirent vraiment que je meurre? Finalement, en bon résumé, ya mon père qui dit qu'il faut toujours avancer. Jamais stagner. Et ça va de soi, jamais prendre le temps de réfléchir à soi, à ce qu'on veut. Notre carrière et avenir est prédéfini. Mes parents savent ce que je veux. Qui suis-je pour vraiment désirer? J'ai vu la Société des Loisirs, de François Archambault, et j'ai jamais été autant bien et heureuse de moi choix.

1 Révérence(s):

  • La fille de Christophe colomb. Voici le livre que tu dois lire. Tu as sûrement déjà bouquinée quelques livres de cet auteur, mais celui-là, il va te mettre K.O. C’est le genre de livre qu’on voudrait avoir écrit. Unique en son genre, même pour un auteur aussi fort comme celui-ci. Un nom. Ducharme. Le livre est très compliqué à trouver, mais la conclusion relève de l’absolution.

    Par Anonymous Anonyme, à  30/1/05 02:37  

Pour s'incliner

<< Manoir

jeudi, janvier 27, 2005

Sélectivité annoyante.

J'ai regardé des perspectives de programmes universitaires aujourd'hui. Je me demande si je fais pas aussi fausse route en littérature. J'étais quand même autant passionnée en cinéma. Avant que je déteste ça. J'ai peur d'adorer seulement par l'univers qui s'offre. C'est tout de même un milieu, pas nécessairement sélect, mais un monde, tout le monde n'y a pas accès. Il y a toujours une bande d'initié. Est-ce que c'est plus ça que je recherche, sans m'en rendre compte? Je crois pas. Mais ça pourrait. Comment vraiment savoir, alors que je me cacher si bien des choses même dans moi? C'est moche. Je crois que j'aime vraiment ça. Si je ne suis pas passionnée, alors ça n'en vaut pas la peine. Juste à rester cloîtrer chez moi, à écrire comme une forcenée, sans me prendre la tête dans ce tourbillon de sélect littéraire. Mais. Mais. Mais. Si ça me manquait pour me faire évoluer. Est-ce qu'on a besoin d'un milieu favorable pour évoluer, pour s'améliorer? J'ai tendance à croire que ça amène le courant mode. Mais. Mais. Mais. Le milieu. Le juste milieu. J'en veux pas. C'est pas des idées pour moi ça. Ce que j'entrevois de plus plausible, dans ma confusion de l'instant est la troisième extrême; l'indifférence. Aller, parfois pas, à des lectures de poésies, à des événements spéciaux. Prendre les jugements, mais pas toujours. Monsieur Poupart, je tiendrai mon point, je le mettrai où je veux, même si maintenant en poésie, on ne ponctue plus.

1 Révérence(s):

  • Il est beau ce blog. Relax comme tout. Et j'aime bien ta dernière ligne.

    Par Anonymous Anonyme, à  28/1/05 03:44  

Pour s'incliner

<< Manoir

mercredi, janvier 26, 2005

Conciliation: André Breton

Je continue ma totale rage de lire toutes les nécessités. Classiques sur classiques, clancher les livres d'école en deux heures. Après m'être fait le Refus Global, c'est le manifeste du surréalisme que j'avide. C'est bien, je comprends mieux, fallait que le lire. Ma vision était erronée. Par des commentaires erronés de mes enseignants. On peut vraiment plus que se fier à soi-même pour apprendre décemment. C'est débile. Même Poupart! C'est bon, je suis maintenant en réconciliation avec le genre. Ça ressemble bien à une certaine ma vision plutôt façon d'écrire. Quand j'écris bien. Mais ça évoluer, c'est certain. En entamant le deuxième manifeste, je me disais que c'était bien qu'André Breton aie créé le courant, etc, mais vraiment, y rester accrocher pendant tant d'années.. toute sa vie? Je sais pas, je pourrais pas. Je suis incapable de stagner pour perfectionner. J'ai trop besoin de liberté. Rester dans son idée, c'est s'emprisonner, s'enchaîner volontairement. Même si c'est la clé de l'Art, ça vaut pas. Ça vaut pas ce que la liberté apporte, et que je recherche si souvent dans l'art. Je crois..

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

mardi, janvier 25, 2005

Quand tu te fais dire que tu dis tellement des idioties, mais c'est pas grave parce que tu es si belle., c'est bon signe? Il me semble que ça fais peur. Surtout quand on baisse le ton pour dire la seconde partie. Surtout quand on veut pas le répéter pour être certain des mots. C'est terrorisant.
La manipulation est par qui maintenant?

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

Constat d'écriture Dr. Poupy.

Ya le collège et c'est terrible comme c'est moche. Ya une seule chose de bien. C'est tellement moche que la seule chose à faire, c'est écrire. Alors j'écris. Mais que des merdes. En se disant qu'en écrivant beaucoup, il y aura peut-être une phrase.. trois mots aux moins, qui pourrait avoir du sens, être d'une qualité exceptionnelle. Je chiale, je chiale. Tout ce que je fais. C'est si lent. Les gens sont ignares, il faut les éduquer. Je ne suis pas un gens.
Ya deux problèmes qui se posent. Ya celui des hommes qui plus je les approchent, plus ils me prennent à la tête. Et ça défeque sur la concentration. Rimbaud, pour avoir tout lu ce qu'il a lu, il devait à peine que les regarder, les autres.. Mais d'un autre côté, ces chers hommes, c'est qu'ils me soutiennent, me font vivre en partie, si l'autre est la littérature. L'harmonie parfaite: le littérateur, cet homme de l'amour-intellectuel.
Autre chose: ce blog ne mène à rien. En fait, je m'amuse bien à écrire, déverser mes pensées. Mais c'est moche. Même moi je ne m'intéresse pas à me relire. Et je lis d'autres, et comme ils semblent avoir un but d'écrire un blog. C'est comme dans mes cahiers, c'est toujours pêle-mêle, même si je lui donne une fonction de départ. Les règles sont faites pour être transgressées. Surtout les miennes. Je sais même pas si je veux donner une définition à ce blog. Je diffuse plus mes mochetés que mes bons coups.
J'ai croisé Poupart tantôt, près de notre lieux commun. J'étais contente. Il était bien sympathique. Il a encore insister pour que je lui remette des poèmes pour la revue du collège. Panique. Non. pas. Mais presque. J'ai un mois, ok, mais je sais pas quoi remettre. J'ai rien écris de bon dans mon mois de congé, j'ai un peu retravaillé, mais tout est si passé. Faudra m'y mettre. De toute façon, c'est pour moi aussi. Faudra surtout aller le voir, même s'il sait être intimidant avec ses airs de poètes dans les nuages, de poète qui sait tout, qui connaît tous. Lui, directeur de maison d'édition, lui poète, pourquoi être éditer. Faudra demander à chaque écrivain le pourquoi d'être éditer. C'est ce qui me manque à savoir. L'argent, on s'en fout, ya plus, c'est certain. Mais je sais pas. C'est une motivation purement égoïste, neh? Que ses écrits devraient être merveilleux pour les autres. Leur apporter quelque chose. Je ne dois pas écrire pour les bonnes raisons pour être éditer. Je m'en fouts des autres. J'écris parce que je déteste ça.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

jeudi, janvier 20, 2005

Retour à pas trop la réalité, dans le fond.. Je me laisse ça pour demain matin, plutôt midi, ou après-midi. J'ai bu, assez beaucoup, comme à l'habitude. De bons amis, je suis paumée, faut dire. Demain, p-e gueule de bois, en plus de gros snack ce soir, donc pas trop bonne nuit de sommeil. Au moins, pas finis chez quelqu'un, mon lit est le plus confortable, avec ses 18 couvertures. On s'éloigne. J'écoute le cher dédé fortin, son dehors novembre me tue, je l'avais oublié. Toutes autres chansons du moment, tout me tue. Il me manque. Je l'oublie. J'adore écrire un clavier. On s'éloigne toujours. De quoi? J'essaie vraiment d'écrire de quoi de cohérent. J'ai entamé le journal de Saint-Denys-Garneau et déjà il m'inpréssionne, surtout pour son époque. C'est certain que son style est un peu empesé, c'est l'époque d'ici, mais il avait une telle constance, pas à chaque jour, mais tellement noter ses pensées, ses réflexions et ce qu'il avait à coeur. C'est fou. Moi je sais que je pourrais jamais noter tout ça dans un même cahier. Mes pensées prennent leurs formes sous différents aspects dans pleins de cahiers, ou pleins de blogs, ou même des fichiers ordinateuraux. Ai vu Maxime aujourd'hui dans le métro. M'a redonné goût et motivation dans parler aux gens, être un peu sociable, raconter soi et être capable d'écouter les autres, et s'intéresser dans certaines superficialités. J'étais vraiment contente de le voir et d'avoir de ses nouvelles. Ai appris que je gosse parfois Louis, copain à nab. Je l'aimais bien. Le trouve toujours sympathique. Je comprends, me connais peut-être pas assez, tous peuvent pas toujours comprendre. Appris aussi que je gosse un peu Isa. Trop de temps passé ensemble. Normal. Mais isa le montre pas. Devrait. Comment le savoir? Chaque jour, c'est moins d'intimité. Ai mon moyen. Part très facilement dans mes rêves et idées quand autre parle, me déconnecte. Faut apprendre a penser que les autres, pas la même chose que soi, pas les mêmes facultés de pseudo-patience. Gosse isa, la voir demain? Don't know. Fout comme on se fait répéter d'être soi-même, mais dans le fond, si t'as pas une merveilleuse personnalité avec les autres, t'es mieux de te prostituer pour plaire aux autres. Et quand tu fais pas ça, alors tu es trop, excessid, ect. Les gens te trouvent des défauts et te disent que tu devrais te surveiller et t'améliorer. Pas être soi-même dans les cas ou on est déplaisant. Quelle merde. Je suis déplaisante. Les gens me le disent de plus en plus. J'essaie de moins en moins de plaire. (Quand j'en ai pas besoin). Je reste ce que je suis. Si les gens qui me rencontre aiment pas ça, alors ils sont pas dignes de moi, j'ai pas à me changer pour les autres. C'est certain que quand j'apprends que je gosse du monde que j'aime bien, ça me dérange un peu, mais du moment que je me souviens de mes propres valeurs et enseignements, ça passe très bien. Je suis totalement égocentrique, alors j'ai pas besoin des autres, et surtout, pas besoin de faire d'effort pour leur plaire. S'ils m'aiment pas, qu'ils mangent de la marde et qu'ils viennent pas m'embêter avec ça. Les autres, je m'en fout au fond, tout le monde est débile sauf moi. Mais au plus profond, c'est certain que ça me touche, que ça m'affecte minimalement, parce que j'ai appris à m'éducquer avec la critique des autres. Au plus profond, c'est certain que ça me fait chier de pas plaire à tout le monde. Mais j'ai déjà essayé de me changer pour être plus gentille et plus universelle, mais c'est tellement chiant, tellement d'effort et tellement plate, sans intérêt, c'est se limiter sa vie et ses plaisirs pour ceux des autres. Et les autres, je les méprise. Alors ça vaut totalement pas le coup. Conclusion, rester moi-même, malgré ma personnalité de merde et m'en foutre, tirer du plaisir de tout ce que je peux, c'est le mieux. Et savoir que de toute façon, je réussis à être auto-suffisante, dond si tout le monde me lâche, je réussirai toujours à être bien. Grande liberté, aucune dépendance, aucune attache. Et puis créer des liens, on a appris que ça se fait assez rapidement et facilement. Well, totale conclusion, j'ai seulement la liberté pour moi. Vivre la liberté. Seule volonté et possibilité.

1 Révérence(s):

  • Mister..

    Si si parfois pour ces notes-à-cachet qui ressortent des vieux cartons pour tout mouiller.

    Être parfaite, il y a bien longtemps que je le sais-suis. Faut seulement le faire reconnaître, qu'on dit. Je tire pas les gens, je vole et s'ils m'adorent me suivent. Mais les obliger à t'aimer, c'est s'attacher, donner de l'importance, neh?

    Le monde comme une grande scène, jouer pour le plaisir, jouer pour plaire, jouer pour tout. Juste jouer. Allons, ils y sont tous entre mes jambes si je le veux. La différence entre la force et l'incapacité..

    Ma toilette, c'est au Reine Laurence qu'elle y est. C'est dans ma tonne de merde qu'on trouvera le plus de perles, t'inquiète.

    rl.

    Par Blogger reine laurence, à  24/1/05 23:50  

Pour s'incliner

<< Manoir

mardi, janvier 18, 2005

Rhalala.

Il y a des milliers de raisons, mais aucune n'est vraiment la bonne.

***
Et ça s'applique à tellement de choses.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

De ces transports je suis loin.

J'AIME!!! J'aime fort et beaucoup. Et chaque transport est plus merveilleux. Les transports de l'amour, la beauté de la mémoire. J'AIME. De jour en jour plus fort, chaque fantasme désiré qu'avec un seul, l'Unique prétendant que mon coeur désire, que mon coeur acceptera. J'AIME. La vie toute rose, la passion m'étreignant à chaque minute qui s'égrenne du sablier sans lui. J'AIME. Oui. Et je combatterai. J'aime terriblement. Et chaque nouveau transport a droit à son coup de machette, toujours plus violent. Quand la répression ne suffie plus, il ne reste qu'une solution. Enterrer, suffoquer jusqu'à la mort. Tout taire. J'AIME. Et surtout, je vaincrai. Comme tous les autres. Je ne devrais même pas souffrir les brûlures du tendre amour, je ne devrais même pas souhaiter une cicatrice sur cette plaie que je me complaît à créer. Ma plus grande création sera mon coeur pour toujours déchiré? Pas. La faiblesse est de trop. La plus grande réussite, mon tête vainqueure, dominatrice d'elle-même, des sentiments et émotions-à-la-con. J'aime et la hache transpercera, le stylet enfoncera, le poignard geindera à la gorge, la massue fondra les jambes, l'esprit ruinera le coeur. Je gagnerai mon but, je me réserve le même sort, je me séduirai aussi.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

lundi, janvier 17, 2005

Merde, j'en viens à espérer des événements tragiques pour me donner une occasion de montrer mes vrais sentiments, émotions-de-merde à qqun. J'en viens à trouver que ça serait un des meilleurs moyens. Arriver en sanglot pour la mort d'un proche, mais sanglot pour l'amour-de-merde que ressenti. Vouloir être sauver que cette personne. Bordel, cheasy et vraiment grave. Que mes émotions peuvent juste sortir sous le couvert d'autres émotions que ça passe, parce que généraliser. Ca va mal.
Le jour ou je vais baiser qqun et que je vais pleurer, alors là, ça va vouloir dire que c'est fait, je l'aime, plus que je l'aime bien. Pleurer et mourir, c'est tellement tout ce que peut m'inspirer l'amour-de-merde. Parce que doit le vivre malgré mes idées. Montrer son amour, c'est la faiblesse. Moi, être faible devant qqun? Non. Pas. C'est pour ça. La totale vulnérabilité en baisant. C'est ce que j'appelle réellement la totale.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

Ce soir, je meurs, un peu plus comme chaque soir, un peu plus comme chaque jour. Je meurs, ma mort toujours aussi bonne et douce, étant perpétuellement dictée par des sentiments.. des émotions.. Beurk. Got to face that. Plaisir d'écrire, pour ne pas avoir à dire, à expliquer, surtout, que personne le sache vraiment. Je sais et je dis, je suis aussi faible que le reste, j'aime aussi. Je suis folle, folle d'un copain garçon. Me mange mes pensées, tue la totale de mes études, peux rien écrire de pertinent. C'est ty pas assez pour pu aimer ça? Maudit jerk. Serait si fun à penser. Au moins, le temps accompli peu à peu son oeuvre. D'embellir, ouais. Non, d'oublier.
J'ai terminé les Liaisons dangereuses, Laclos. Superbe, pour les moeurs, la marquise, toujours sublime. Comment se maîtriser parfaitement pour maîtriser tous à ce qu'on veut. Dommage que tout termine si mal, pour les gens si "dépravés". Sure. La fin détestable, mais la marquise, quel compliment de m'avoir comparé deux fois plutôt qu'une à elle. Je suis touchée. Et j'entends m'exercer pour l'atteindre, tout en l'espoir de la dépasser, de finir en grande légende, de tous les avoir bernés, c'est certain. Une morale: faire confiance à personne pour ces choses là.
Je me prends à rêver, au doux enfant-copain, c'est certain, mais à tout et rien. Je rêve. Je souhaite l'oublier, et tout me rapelle l'existence du putain-amour et de ses dérivés. Kind of bad. Si on est pas heureux avec l'autre, et passer sa vie à m'en oublier, alors on est en totale dépression et je suis si merveilleuse écoute. Je veux dire, je peux même rêver à mec pendant qu'on me radote des histoires. Ya ti pas mieux?
Décidé de tout arrêter pour passer ma vie enfermée chez moi, à me consacrer à la littérature. Ça me fait bien plaisir de lire, mais vraiment j'ai total rien d'intéressant à écrire. Ma vie même est pas trop passionnante, et surtout, j'ai pas d'envie de prose. La fiction, c'est au-dessus de mes forces pour l'instant, la poésie ça va, mais je sais pas, je me sens jamais en état de retravailler. Est-ce que j'ai jamais eu autant besoin de mon fuckin amour-intellectuel. Ou juste un tendre choux qui voudrait bien me lire critiquement. Et me pousser à écrire. Des choses bonnes. Faudrait prendre c'était des orgies... pour le transformer en suite poétique. C'est bien la mode ces temps-ci, en poésie. Et surtout, pas de ponctuation!!! Oui monsieur Poupart..! Mais moi le point je l'aime! Ben apprends, parce que c'est pas toi qui va révolutionner la poésie, du moins, pas tout de suite. Quoi, pour percer, est-ce qu'il faut se conformer à ce qui est à la mode, pour se faire connaître. Une fois aduler des critiques, du milieu et du mince public, tu peux te permettre n'importe quoi et les gens, aveugles de célébrité, t'acclame tout de go. Alors la révolution peut commencer? Mais ya personne pour être vraiment critique avec toi? Et toi, t'as aussi les yeux fermés tu sais..
Quelle merde.. Perpétuelle, si je voudrais faire de la beauté-esprit..
Ya deux choses qui me tienne. Ya l'espoir du travail en librairie, le plaisir des livres, là aussi le perpétuel se place bien. Ya le style, le plaisir que j'y ai retrouvé. S'alliant avec un fuckall plus puissant. Faut juste faire attention aux hommes-à-maladie. Déjà que.. Ça va passer bien vite, faut seulement garder espoir. Le style, à faible coût, retrouver le plaisir et se démarquer, pour le plaisir du costume, toujours. Me faut vraiment ces draps dorés en satin. Et ces sous-vêtements en léopard. Le style, le plaisir du corps. Je veux dire, je me fous de toutes ces putains de mode, moi ces mes idées que j'aime le mieux. Vivement filets, chapeaux-melon et paillettes. Mini-jupes et triangles. Voyez mes fesses, mais pensez-y même pas. Parce que tout ce que je porte, plus c'est court, plus c'est beau. Pas plus que je veux vous baiser. Bordel. Je baise pas tout. Ou presque. J'ai pu envie. Et je sens que je rentre total directement dans mes 18 ans. Le huit. La forme bordel. Le sept, facile, totale intelligente, avec minceur et cute, sans trop rien de fout. Là, ya la pulpeusité qui rentre. D'accord, mais merde, pas loin le 20 ou je serai défigurée. Et le 19, perdre toutes mes fesses. Wow, les plus belles considérations superficielles, par des nombres! Bordel.
Le fuckall me tient debout. Sans ça, moi je serais déjà morte, 40 milliards de fois, c'est horriblement moche, par des sentiments à la con. Oui, c'est mon con qui règle tout. Je me sens terriblement près de Miller. Hey, ça te dirais de prendre un verre, on parle de rien, juste pour baiser un bon coup après, prendre chacun son pied. Je suis mignonne tu sais, je suis certaine que ça te plairais. Mon petit con, juste pour toi... Alors on baise bordel. Tu me plais, entre ici mon choux. Mais faut toujours penser à petit-copain, même après l'amour, le foutre dégoulinant. Je plonge et replonge, tant de douceur dans cet univers du foutre. Mais l'idée, c'est qui faut pas en être contrôler. La supérioté, quand tu peux pu t'empêcher d'aime, c'est d'au moins pas le dire, pas espérer, et pas faire de rapprochements débiles. Pas espérer. Tout oublier. Et si tu gardes pour toi, au moins, ça passe plus vite.
Et puis, des pensées heureuses, yen a des milliards d'autres. Les lectures merveilleuses quotidiennes, les objets, je mini-temple, les poèmes, les amis.. l'alcool. Le style. Une future librairie.. Les groupes d'anglos de bonne musique, le redécouverte du bon vieux jazz.. duke, monk, mingus, waits.. On adore. Les aspects sont au meilleurs, tous positifs, la vie va si bien, de plus en plus près du drafts. Être draft.. le seul avenir que je vois et entreprends. Le corps de femme, l'entretenir et les rendre fous. La tête d'homme. La conscience de savoir comment la femme pense. Pas de morale. Qu'une valeur: la beauté. Qu'un précepte: la liberté. Qu'un intérêt: moi.
Draft.
Copain-terrible, je t'oublie.
C'est l'horrible féline qui rôde et..
J'entends déjà les cris.. Ou serait donc passée la vertu?!? Je l'ai bouffée, bande de porc!

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

samedi, janvier 15, 2005

André Breton, tu m'aides..

Au fond, pour moi, le style surréaliste, pas à l'extrême, mais adapté à une certaine compréhension est simplement le meilleur et surtout plus beau moyen de s'exprimer librement en toute intimité. Conserver ses seuls quelques secrets. Et c'est beau en plus! Reste rien qu'a réinventer..

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

vendredi, janvier 14, 2005

Quand Star Wars explique tout.

Que faire lorsqu'on désire ardemment quelqu'un, quand on l'adore bien juste assez, quand tout va bien, mais quand seulement les choses vont contre soi. Surtout, quand l'orgueil agit comme il doit, destructeur et merveilleux par sa puissance, subjuguée, oui je suis, voilà, je parle en maître Yoda. Quand l'amour absorbe et est terriblement doux, alors qu'il faut le repousser de toutes ses forces, par la volonté de la solitude, mais quand en supplément on sait que malgré tous les beaux apprentissages, c'est rester comme avant, aussi impossible et toujours aussi Cendrillon. Baise tes débiles et laisse-moi tranquille. Je veux pas de ces histoires à la con. Je veux pas me déchirer le coeur tout de suite. Je veux pas me laisser aller, me laisser divaguer. Si ya même plus le contrôle sur soi, ou désire-t-on alors aller dans la vie. Pas moyen de rien. C'est pathétique. Vie à la con. Surtout, éducation à la con. Qui laisse pas une miette de liberté. Vivement les aristocrates. Et surtout, garçons à la con. Seule passion et véritable merveillosité, je vous excècre si souvent. Tuez-moi encore, j'en mange et surtout en jouie. Pourquoi fallait que ça arrive. Et si plus loin, tous vont rire. Et le rire, alors la destruction. Yavait Yoda, sont intelligence, oui, mais le côté noir est toujours plus passionnant, efficace.

1 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

mercredi, janvier 12, 2005

L'écrire

Quand on y pense, en art souvent surtout, les gens (artistes) veulent créer du nouveau parce que du déjà-vu c'est pas merveilleux on sait déjà c'est quoi. La nouveauté risque plus de surprendre en surprenant on a plus de chance d'être aimé. Et de pas être accusé de plagiat. Et pleins d'autres idées débiles. On peut se dire que "tout a été fait, mais pas par moi" oui c'est très facile de s'y borner mais vraiment ça revient toujours à un certain type de jamais-vu. Alors qu'est-ce qu'il reste à faire. Pas grand chose. Ces temps-ci tous les nouveaux que je lis il me semble que ce qui est bon s'approche tous de la même chose. On veut pas être trop réaliste on préfère déconstruire les bases les conventions. Une fois de plus. La nouveauté? Pas grand chose. Et puis les mots. On est assez intelligents maintenant pour comprendre que les mots ne sont pas unanimes. Chaque personne y trouve sa subtilité. Et si tu veux minimalement bien écrire, il faut que tu utilises cette subtilité des sens. Et personne comprendra. Reste seulement à écrire ce qu'il y a réellement dans son tête après que le monde aime ton tête ou pas. La majorité pas parce que tous débiles c'est certain. Faut pu chercher le sens ultime de chaque mot de chaque phrase. Faut juste savoir comprendre d'un style coulant l'essence qui dégage. Comme le parfum d'une personne qui serait son nom. Les gens aiment le style les gens trouvent dans le style ce qu'ils croient être du sens. Bravo. Ya dire et ya comprendre ya bien dire et être débile. Ce que je hais les gens. Et ces littérateurs à la con. Soyez pas littérateurs si tout ce que vous êtes est un trou béant noir et visqueux. Misogine a fond oui. Jalouse pas.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

mardi, janvier 11, 2005

Si je disais que oui je veux bien rencontrer quelqu'un je voudrais bien être avec quelqu'un alors tous cesseraient de s'acharner à me convaincre de merdes coupales. Je déteste.
Les gens sont débiles.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

Car tout le reste n'est pas littérature.

Si c'est ainsi qu'on se doit de traiter les gens, alors moi je dis que je suis une personne résolument franche et tellement pas si méchante. Juste trop naive. Voyons, moi je tombe amoureuse de tous, toujours, tout le temps. Je trouve la race humaine si merveilleuse, intelligente et intéressante, que je me donne corps et âme, surtout l'âme je dirais, à chaque personne que je rencontre. Allons, je suis folle, la musique m'avilie et je ne regrette que tout ce qui est arrivé, que tout ce que j'ai pu vivre. Tout ce qui est néant, je le caresse et l'adore. Ce qui fait ma vie, je le déteste. Avouons, l'amour est tellement plus grand, plus beau, plus bon. L'amour, toujours son grand a, qui dit quoi en fait. Moi j'aime tout le monde, apprécie chaque personne avec ce qu'il peut apporter, et quand tout ce qu'il y a c'est un gland gentil joli, ou un gland sale et smegmaé, je veux dire,e n fait yen a plein qui ne disent rien, yen a quelques uns qui y auront droit, à mon con, mais disons que c'est toujours un privilège que j'octroie à tous les vits qui me peuple, qui me donne quelques idées, parfois du plaisir, mais le plus souvent du rire. J'ai presque le genre con-qui-rit de l'idée de Miller, mais je dirais plutôt que j'ai la bouche toujours grane ouverte qui crache un rire à fermer et semer les entrailles des gens. Ainsi, ya parfois des plus meilleures races, non plutôt je dirais que ça crée une barrière ou seul les plus désireux entrent, mais donc ils veulent vraiment, et avant qu'une autre saccade de rire mortel traverse leurs tympans et transperce tout désir, c'est toujours prendre son pied seul et laisse-moi pas jouir seule. Parce que jouir, c'est bien beau, maisya toujours des limites. Vous êtes qui pour me dire quand jouir, pour vous permettre de me faire perdre le contrôle de mes sens? Je veux pu rien savoir, en fait, j'ai jamais rien voulu savoir. Là ya Clinic qui joue, Porno en plus. Comment pas pousser ses réflexions à toujours se dire qu'un jour certains fantasmes se rempliront, que certains imaginaires trouveront leur voie de réalité? Moi je veux bien. Mais ya pas tout le monde qui comprends, et encore moins qui veulent de moi ainsi. Alors je me fais mec, je comprends mieux, c'est plus facile. Ya toujours pas de compromis à faire. Parce que moi, les compromis, j'ai jamais compris ça. Si c'est bien un pays comme Poupart l'a dit, si c'est juste un trou de merde ou il y a seulement les consensus qui fonctionne, je comprends bien comment les gens peuvent me "détester", comme dirait monsieur les seins, comment les gens trouvent les excès désagréables. Il me semble que la meilleure avenue serait vraiment de voir et de trouver ces gens d'ailleurs, qui veulent bien écouter des sornettes, et pour moi, qui en racontent aussi, parce que je veux dire, j'ai beau semblant dominer, entre ce que je dit et ce que je veux, ce qu'il y a toujours dans mon tête, il faut pas croire que je me crois mooi-même. Je sais bien ce que je veux, et j'avouerai jamais rien, parce que l'orgueil, c'est quand même mon péché favori. Alors je dis rien et j'attendrai que quelqu'un réussisse peut-être à désirer me connaître et surtout réussisse à me deviner, quelqu'un qui aime encore jouer, même à vingt ans, ça existe pas, ça existe pu? Moi je demande beaucoup, oui, mais une fois que je suis comblée, je demande plus rien, et si on me tourne bien, et qu'on m'aggrippe un peu, je sais être aussi molle et douce qu'un écharpe en satin vert. Mais ya trop souvent que le rouge du sang qui sort avec moi. Je pourrai bien me résigner à être seule quelques temps, parce que j'en apprends toujours un peu moins, mais j'en montre pas plus aux autres. Mais bordel, ils attendent quoi pour rester plus loin que la surface. Je veux dire, vous avez un souffle de merde pour même pas réussir à m'atteindre, une fois sur quarante. C'est quoi, en plus du creux plus grand que celui des Mariannes, j'ai une ceinture aussi grande que celle d'Australie? Mais voyons, comment personne ne connaît un peu de cette vie mouillée et sous-marine? Vous savez pas, vous saviez pas que cette ceinture est ce qu'il y a de plus fragile, toujours plus en voie d'instinction, surtout ces jours-ci, alors que je suis la personne la plus débile de cette terre, du royaume, de tout. Je veux dire, moi seule a peut-être la conscience, mais alors je me diminue aux autres, à rien faire, à me remonter pourquoi? Je les aime pas plus. Et un seul, je l'aime pas. J'aime pas les gens près de moi. Faut repousser, parce que la vie partira assez vie. En voie de disparition j'ai dit. Qu'on me tue à grand coup de cocque ou à multiples petites vites de palmes, moi je veux rien savoir, parce ça me tue tout autant. Alors tant de mots pour si peu dire, pour simplement, peut-être, avancer une minuscule réflexion, qui me mène à une autre idée que je ne tiendrai pas, selon les occasions, les gens qui me côtoient, que je côtoie, selon le monde qui tourne toujours mal, une rotation désaxée, mal famée. Je cesse, je prends une pause du moins. Ça m'a assez causé de tort. Et je sais que je peux jouir autant et mieux que par la chair. Peut-être même arriver un jour au sexe intellectuel.. J'aurais peut-être même peur de l'amour intellectuel, mon aspiration de vie d'adulte? De merde. Alors je répète et espère perpétuer quelques temps. Je désire cesser ce genre d'activité. Ya personne qui a su me convaincre de reste dans cet univers. La chair, je reste persuadée qu'on en jouie plus et mieux en la mordant qu'en la caressant ou baisant. Je ne me convaincrai pas seul que ce monde est pour moi. Je me retire un temps, long je souhaite, pour m'en remettre seulement au plus grand plaisir que je retire de mes littérateurs favoris et de moi-même de donner sur la page, là enfin dire ce qui me plaît, sans rien devoir que d'être peut-être la littératrice de quelqu'un et toujours me surpasser de plaisir. Par la Beauté, par l'Art et par la Création, je me retire du monde cinglant de la luxure charnelle pour me concentrer à des péchés bien plus grands, génir et littératurer. Car tout le reste n'est pas littérature.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

Devoir de rl.

Jouir je veux dire c'est toujours bien c'est toujours fun. Une reine ça se doit d'être égoïste, non? Royalement prendre son pied qui a-t-il de mieux? Quand on est à la tête d'un empire faut bien utiliser ses sujets à quelque chose d'utile; me combler. C'est leur devoir même quand je l'exgige je dis. Alors l'autre qu'il me montre qu'il soit un roi, je tirai alors comme pas une comme la seule la vrai reine. En attendant je travaille pour MA cause. égoïstement royale.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

vendredi, janvier 07, 2005

C'est choses du poète. Il appelle ça du primtemps.

J'ai fait le ménage de mon blog. J'ai effacer tout ce qui avait été fait avant. Plus que je lis les blogs des autres, plus que je me dis qu'ils ont un style, qu'il y a même presque des efforts pour créer un semblant d'ensemble homogène. Alors faut rentrer dans la masse, quoi. Juste cesser de s'ennuyer soi-même. Mais ici une pratique d'écriture, car comme il est si bien écrit dans la deuxième version des orgies:
Brûler
Cracher pour s’en sauver
Et écrire
Écrire pour exorciser
Écrire pour écrire
Écrire pour s’en sauver.
Je me mettrai peut-être à réfléchir, bientôt, et donner quelquechose un peu digne. Si on veut garder le sang bleu..

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

jeudi, janvier 06, 2005

Sororité. Sérieuse. Conversation.

Ya ma soeur qui me souhaite de connaître l'amour pour la nouvelle année
Ya ma soeur qui dit avoir peur pour moi.
Ya ma soeur qui dit avoir peur que je sombre dans la drogue et la prostitution.
Ya ma soeur qui dit que ma façon de voir les hommes me mènerait facilement à la prostitution.
Ya ma soeur qui dit que ma façon de vivre mène droit au chaos.
Ya ma soeur qui dit que je suis malsaine parce que je refuse de vivre comme dit, comme elle.
Ya ma soeur qui dit pas comprendre que je veuille pas être en couple.
Ya ma soeur qui dit que si tout le monde autour de moi est en couple, peut-être alors il y a quelque chose à connaître de merveilleux.
Ya ma soeur qui dit que mon entêtement solitaire est dû à l'ignorance.
Ya ma soeur qui dit avoir peur pour moi.
Ya ma soeur qui dit que je risque de sombrer dans la drogue.
Ya ma soeur qui dit que je pourrais mener une double vie et être une prostituée.
Ya ma soeur qui dit que je devrais consulter un psychologue.
Ya ma soeur qui dit que j'ai des problèmes de confiance en moi.
Ya ma soeur qui dit que je devrais être actrice, si j'aime jouer, plutôt que jouer dans la vie vraie.
Ya ma soeur qui dit, qui dit, mais qui comprends rien.
Ya ma soeur qui est dans sa bulle rose de couple.
Ya ma soeur qui voudrait que je sois dans une bulle semblable.
Ya ma soeur qui se fâche parce que je refuse de connaître son petit bonheur simple.
Ya ma soeur qui se fâche parce que je refuse d'essayer d'être heureuse.
Ya ma soeur qui se fâche toujours d'imcompréhension de mon mode de vie, de ma remise en cause des faits normaux acceptés.
Ya ma soeur qui dit et qui me ramène sur terre, parmis les vivants moyens, parmis une certaine plèbe.
Ya ma soeur qui me fait réfléchir malgré elle.
Ya ma soeur qui me confirme que mon choix est toujours plausiblement le meilleur.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

considérations surfaciennes.

Mon cache-cerne a réapparu. Il aurait pu laisser un mot.
***
Je me lime les ongles comme on joue du violon.
***
J'ai recopié mes poèmes pertinents, valables. J'ai un peu retravailler. Ce qui en ressort j'aime faire des images et pas du classique. Et surtout je pense trop. Faire des liens pour que personne remarque mais que tout a un sens je penserais vraiment trop mais c'est parfois magnifique.

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir

lundi, janvier 03, 2005

Léger instant de désespéritude. (et autres réflexions chaudes)

Merde, il habite à Québec. Pourquoi les seuls dieux presque accessibles ne le sont pas. Pourquoi les gens que je désire habitent si loin. Rhalala.
***
Ça, sincèrement, c'est du délire.
***
J'ai plus de caractère, moins de gêne, mais toujours mon lot d'innadaptations. Comment rougir au coin du feu? Je sais que j'ai la trempe d'un grand écrivain. Mais je déteste écrire. de la littérature.
***
Baiser sur les Georges Leningrad.
Ou se faire réveiller par un gros vit soufflant ses ardeur contre son con..
***
" - Je crois qu'il faudrait cesser d'être un couple.
- Pourquoi ça?
- Ça dit à toi dans ma tête: je t'aime.
- C'est si gentil.
- C'est la pire chose qu'il pouvait arriver.
- Je t'aime.
- Je t'arrache les yeux pour mieux y goûter. "

0 Révérence(s):

Pour s'incliner

<< Manoir


 
autodidacte