Ze manoir

vendredi, décembre 29, 2006

L'effet popcorn.

Je n'ai jamais passé le temps des Fêtes comme ça. À manger, manger, manger tellement que boire l'alcool menait au vomissement. Manger la nourriture, puis ce qu'il reste, et les restes des restes. Si c'est bon. Même si c'est pas bon. Le pire des temps des Fêtes sans rien relaxer, sans pouvoir faire autrement que de sauter d'un repas à l'autre, d'entrer des bouchées. C'est donc cette année que je teste vraiment l'effet popcorn. Que je vois si toutes les théories d'observations sont vraies, si elles s'appliquent à moi, surtout. À taper l'âge du popcorn, à jouer avec les limites de mon estomac, je crains l'effet popcorn. Que mon cul augmente à une taille pas croyable. Que mes cuisses deviennent grosses. Que je devienne grosse. Et laide. Grosse et laide. L'horreur de l'âge. Le gym va être bondé de bonnes résolutions et de gros qui veulent pu être gros, de gens qui se sentent mal de s'être permis la nourriture autant. Et moi qui va craindre l'effet popcorn, tout en détestant l'abondance du gym, la marée de gros vont se secouer la graisse en sueur. Alors j'ai peur et je me dis qu'au moins, le stress est suposé d'augmenter le métabolisme, de faire baisser la graisse. J'espère ne pas avoir le gène gros cul en moi.

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  • En fait ya aussi ce que j'appelle amoureusement le "syndrome de l'italienne". Les jeunes filles italiennes, elles sont super sexy, elles sont belles à mourir...un jour elles se marient, et quelques années après...POW!!! Elles enflent, et deviennent laides...elles se tranforment en mama italienne habillées de noir parce que perpétuellement en deuil et elles se mettent à hanter le marché jean-talon les ruelles de Ville Émard(je le sais...yen a plein dans la ruelle derrière chez ma douce moitié)...donc ne t,en fait pas...la génétique t,a peut être épargnée!

    Par Blogger Mademoiselle C, à  2/1/07 23:56  

Pour s'incliner

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lundi, décembre 18, 2006

La création pour rire.

Souvent lorsqu'on s'amuse à faire les pseudo-intellectuel et à critiquer, il revient l'idée de ça sert à quoi l'école, tous les travaux et examens, où on finit toujours à se bourrer le crâne pour les notes, faute de temps, faute de passion. Où tout finit par le plaisir de réussir, sans grand bilan intéressant de connaissance. Et on argumente que de pousser la recherche sur un sujet ne mène à rien, qu'on écrit pour les autres. En fait, ya toujours des tas de personnes pour dénigrer les premiers essais de textes savants. Pourtant, côté création, côté fiction, on aime toujours, on publie dès qu'on le peut, on est bon par talent et on aime exiber nos démarches, exposer son "message". Bien vite la création fiction m'a lâché, j'ai donné le coup d'arrêt, passe que le sens ne se prend que dans une optique, pour moi. Quant à l'essai scientifique, ya difficilement quelque chose qui m'excite plus. Qui me fait rêver mieux que d'en écrire toujours plus. Où l'exercice de style est encore plus difficile. Où prendre une plume à son ton est toujours risqué, où faire des images et insérer de l'humour rique de cracher sur la crédibilité. Et où il faut savoir dire quelque chose. Passe que parler de sentiments, c'est toujours un peu plusse plate. En gros, j'aime mieux l'idée de m'habiller en tailleur noir sans artifice et quand même sortir du lot.

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jeudi, décembre 14, 2006

Une fête.

Comme cadeau de fête, j'ai eu une infection urinaire. Une nuit passée sur la toilette, à vider le rien de ma vessie. À me dire qu'il faudra que j'aille à la clinique, mais j'ai pas le temps. À stresser au manque de sommeil. À ruminer encore une infection urinaire, à maudire et à anticiper une salle de clinique. Mais à part ça, c'est fun avoir sa fête. J'étais super en joie avant même de recevoir les compliments, toute mise dans une disposition à recevoir, à prendre pour moi. Passe que ça venait beaucoup. À décider d'être tranquille pour ma fête, passe que examen aujourd'hui, alors faut être en forme. Mais n'ai pas dormi à cause de l'infection urinaire. Mais j'aurai essayé. Ce que j'aime, c'est que ma fête dure. Au moins une semaine à recevoir par tout le monde, être bien fêtée au complet. À décider de ne pas réfléchir sur le temps qui passe, sur l'âge qui avance, comme ça ça arrivera pas. Ou ça arrivera. Mais n'en aurai pas conscience. Ne plus me compliquer la vie. Tout de même, c'était fait, la magie de fête brisée par la maladie. Comme pour me rendre plus sage.

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samedi, décembre 09, 2006

Elle est belle.

J'ai quelques règles immuables côtés couleur, autant que côté fashion. Par exemple, il est impossible d'avoir bon goût et de porter du bleu marine avec du noir. C'est une erreur terrible, inexcusable. Même chose pour le rouge et le rose, à moins de se faire la totale pour la Saint-Valentin. Voilà qu'en regardant un accessoire de princesse, je découvre l'exception. Ya la petite sirène qui est magnifique, avec ses longs cheveux rouge. Et lorsque transformée en humaine, elle porte une jolie robe rose. On arrive donc à la conclusion qu'ya juste les princesses qui peuvent transgresser les règles avec succès et beauté.

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  • bah, Yves Saint Laurent savait manier parfaitement l'association marine + noir. par lui c'était juste sublime. quand au rouge+rose, ça dépend du rouge et du rose, ça peut aller super ensemble. tout est possible si t'as la classe, l'audace, et si tu ne fais pas pétasse & check your ass! YO!

    Par Anonymous Anonyme, à  11/12/06 09:15  

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mardi, décembre 05, 2006

Pas voir le temps passer.

Avec le calendrier de l'Avent qui a commencé, on dirait que tout a un peu explosé, en petits fragments, en petites bouchée justement. Comme si l'excitation m'atteignait avec le sucre que je recherche, le bon chiffre à chaque jour. Le mauvais temps semble passé, du moins on espère, et c'est du travail à faire sur la personne, mon travail à moi consistant surtout à espérer très fort rester gentille. Mais ya les fêtes qui arrivent, le marathon est commencé, c'est la folie du début à la fin du mois. Au moins, contre la course ya le froid qui s'amène, qui refroidit, qui plonge sous les couvertures pour s'enrouler comme l'hibernation. avec toutes les fêtes des autres n'ai pas le temps de voir venir la mienne, de changer de nombre, de sauter la dizaine. Assez terrible. Étape à franchir, étape psychologique qu'on s'amuse malsainement à vouloir fuir, à avoir envie d'oublier. M'étais dit que j'allais prendre le temps de me préparer psychologiquement, d'y réfléchir et d'en faire un genre de point, mais n'ai pas le temps. Les premières études qui terminent et le tourbillon me fait tout oublier. Finalement, ce chiffre de plus passera comme nul, sans grand intérêt, sans trop d'excitation non plus, sinon mes cadeaux.

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autodidacte