vendredi, juillet 29, 2005
jeudi, juillet 28, 2005
Deux dans un.
mercredi, juillet 27, 2005
mmm.
Peux penser à rien d'autre.
Tout partout à bouffer à bouffer à bouffer.
Juste ça.
Now.
1 Révérence(s):
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Eh ben, dans ce temps-là, t'es supposée savoir à quelle porte frapper.
Par 29/7/05 18:32
, à
mardi, juillet 26, 2005
Reach ma pointe beauty.
dimanche, juillet 24, 2005
La louve des celles trop sensibles.
2 Révérence(s):
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A feu et à cri
CordialemntPar 24/7/05 04:20
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Wow! Bon résumé!
Mais le message risque de ne pas être lu par le principal concerné. Dommage...Par 24/7/05 15:25
, à
vendredi, juillet 22, 2005
"Autour de moi ça dévergonde."
jeudi, juillet 21, 2005
Quand le poète promène son chien.
mercredi, juillet 20, 2005
Fermeture 1 dot 1.
3 Révérence(s):
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Parfois je réalise qu'on a des jeux qui se ressemblent, toi et moi, sauf que moi j'ai encore assez de principes pour ne pas nommer ça des jeux... lol... ah, les fans...
IraPar 21/7/05 11:46
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"j'ai encore assez de principes"
ce qui est vraiment drôle, c'est quand tu y penses, ça devrait être toi qui est moche de pas le nommer ton jeu. selon la logique, ma façon serait plus honorable. mais le monde est stupide. alors je n'ai pas de principes. mais la vie est bien plus fun ainsi!
rl.Par reine laurence, à 21/7/05 16:48
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Mais moi, je les connais pas ces règles générales que tout le monde connaît. Je sais pas pourquoi, les ai juste jamais su. C'est pourquoi me fait mes règles à moi.
Suis pas reine pour rien..
rl.Par reine laurence, à 22/7/05 17:09
Réfugiée chez les puces.
mardi, juillet 19, 2005
On dit control freak (mais il me trouble.)
lundi, juillet 18, 2005
Toute l'histoire coule dans mes veines.
1 Révérence(s):
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Mister très cher..
Les commentaires qu'on me laisse me restent pas de glace. Si je semble toute muette sauf chez moi par moi, c'est que suis toujours un peu génée chez les autres et puis la peur de l'impertinence me guette, ça c'est certain. Au manoir, trop souvent j'ai pas de mots à redire qu'un sourire, un chaud de coeur ou une lèche de chien qui s'oublie ses yeux piteux.
Suis bien contente que ça vous plaise, ma pensée. Ya tellement rare, tellement trop qui me hachent en pensées. Mais ici encore, j'ose pas vous poursuivre en questionnements de ce que vous aimez tant, plus précisément. Parce qu'à me mettre à disséquer, trop souvent ça rebute de long et trop souvent, qu'une histoire de mots.
rl.Par reine laurence, à 19/7/05 02:23
mercredi, juillet 13, 2005
Flasque.
J'ai fait la belle, la coquine, la timide, la confuse, la provocante, la mystérieuse, la sensuelle, la violente, la dominante, l'implorante. Et j'ai si bien joué, si bien surfé en genres qu'il s'est pamé en trois coups de klaxon. J'ai bien réussi. Trop. Là, je sais plus quoi faire, j'ai si peu de temps. Et lui, il désire toujours aussi fort.
Il ne m'observe pas, il me contemple. Il veut prendre la place du crayon toujours si savamment logé dans mon bouche. Il veut s'enfermer avec moi où il n'y a pas de caméras (il a déjà repéré les lieux). Il veut admirer mon beau sourire il veut régler mes problèmes accourir à mes commandes. Il veut que je le punisse le morde l'attache, du moment que je m'occupe de lui, de son corps surtout. Il se prétexte pour me voir j'le fait sourire.
C'est trop.
Quand il va vraiment se décider à me lancer contre le mur pour enfourner mes lèvres moi je saurai pas quoi dire parce que j'aurai été total aguicheuse je peux juste pas m'empêcher c'est que ça m'amuse tellement jouer sur les mots filer des regards d'interprétation de tester les gens à savoir leur faiblesse elle va jusqu'à où parce que pour moi c'est de la faiblesse de tomber pour moi c'est de pas se tenir sur ses couilles que de me les léguer sur la nuque j'aime les jeux et j'aime me battre surtout j'aime quand je domine mais ça m'exaspère ça me déçoit toujours parce que c'est sûrement pas ma technique qui est si raffinée bordel je suis toute neuve comme on dirait mais c'est qu'ils se laissent piler sur les pieds comme si c'est vraiment ce qui m'apporte la jouissance extrême c'est que je ne veux pas nécessairement d'un mec à mes pieds je trouve ça ridicule j'aime me battre et personne veut de l'éternel tous recherchent la paix la plénitude pour moi c'est comme stagner c'est pas avancer et mordre griffer au moins ça ajoute de la vie par la défaite on réfléchit mais ya personne qui endure et en plus je préfère ceux à l'ego trop élévé au moi plus que personnel à ceux qui n'ont aimés qu'eux au moins je sais qu'ils ne m'aimeraient pas mais comme un certain l'a si bien dit il s'est foutu tous les clichés de la télé pour connaître les femmes comme les autres idéalisent leur rôle et me donne tellement d'acharnement à être le sweet convivial alors que je souhaitrais seulement des larmes et des cris hystérisques pour me divertir pour sentir que quelque chose arrive parce ne pas se pousser c'est comme mourir le crapaud qui oublie de sortir de sa vase l'hiver fini il meurt enbousé les chaleurs de l'été venues c'est comme ça que je me sens avec le monde idéal devant moi mais personne avec qui le partager à afficher la mise en branle je sais pas quoi faire mais quand il va agir même si je lui aurai jamais rien dit de clair parce que je veux pas être prise alors je sais pas comment je vais réagir mais malgré mon mépris de sa faiblesse j'ai peur de pas avoir le coeur de lui trancher la gorge de lui battre les couilles pour faire un non et qu'au fond même si c'est pas le désir hard que je le laisse quand même parce que c'est moins dur que de le blesser à l'orgueil ce que je comprends le mieux mais aussi que c'est moins dur que de briser un rôle construit tellement plus solide qu'un coqu'en-bouche.
2 Révérence(s):
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C'est décidé mieux vaut troquer de vagues plaisirs au sourire que d'être liée au mec terriblement seul qui a rien d'autre à faire qu'être en fantasme de moi. Il va pas comprendre l'engrenage qui stoppe lentement au moteur, mais il va valser au frein à mon dire, comme le reste. Suis surtout déçue, plus d'hommes à jouer.
Et puis malgré tout, ya bien une chose qui me reste, c'est mes surprises à chaque fois, l'ego tellement gros que ma naïveté dérape pas.Par reine laurence, à 14/7/05 00:44
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Cette naïveté qui ne dérape pas, ces lieux que tu ne vois pas et cet ego qui explose en exil.
Par 14/7/05 02:23
, à
mardi, juillet 12, 2005
Au sujet de la solitude.
Yen a qui ont déjà dit qu'une femme ne peut que danser magnifiquement. Qu'une femme qui danse est toujours irrésistiblement sexy. Je sens qu'yen a qui ont toujours aimé idéaliser la femme. La foutre en personnage comme le reste des vies. Parce que le rêve est plus beau.
La danse. Tiré du pouls de la musique. Les notes alcool puissant. Qui s'imbibe dans le buvard. Qui lèche le papier plus fort que le vagues. Surtout qui coule, s'enrobe toujours plus beau que les graisses, qui s'associe aux bulles savons sur ma peau, sur l'humide dans la douche. Qui contraste pâle. Transportée d'une virvolte. Et tout ça assez fort pour bouger les pas sans ballerines sanglantes aux pieds, m'emporter aux confins du moderne superbe, m'allonger sous les classiques valses autrichiennes. Même le sourire est de trop. Les mots du bonheur ou malheur, de l'heureux temps, on s'en fout. Cataractes qui recouvrent l'oeil, puis tout le reste. Résonance une note, deux, trois. Paf. Le vent dans chaque forme. Le rythme pas seulement un aller-retour, une boucle, un fluide de chi. Nan. Plus loin encore qu'être, plus loin encore que le bassin d'un bassiste.
Au sujet de la solitude, cataractes du rythme.
Je raconterais bien l'histoire de l'héroïne dansante
De la ballerine
Du magnolia sur l'eau
Mais j'ai louché entre mes seins.
dimanche, juillet 10, 2005
Criser c'est les fondations du manoir.
vendredi, juillet 08, 2005
jeudi, juillet 07, 2005
1 Révérence(s):
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La liberté politique est un rêve, la liberté personnelle une chimère.
Par 7/7/05 13:27
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2 Révérence(s):
Une milice, t'es sérieuse? Et tes volontaires, tu les trouves au supermarché?
Par J. Walters, à 31/7/05 01:04
sorry...
Par Anonyme, à 19/11/05 13:58
Pour s'incliner
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