Mords-moi l'oreille.
En bladant du retour chez moi, je croise un groupe de gens qui marche. Mais vraiment l'idée comble du mot groupe. Qui englobe tout âge et tout style. Yavait tout, en petit multiple. Je blade à contre-courant. Leur mouvement est lent. Le réflexe pas présent du tout. Mais à frôler de tout près en croisant, yavait qu'une évidence. C'était des zombies. Des vrais. Qui bouffent de la chair, qui lentent le long des routes. À prendre un instant et fixer le regard d'une fille, c'était plus que vide, l'air hagard, yavait tout dans la perfection. J'essaie de raisonner, mais c'est trop clair. Ya vraiment des zombies. Et mon plaisir, ensuite, en voguant blade sur du doux tout neuf, c'est de cuisser en recençant toutes les armes dispo à la maison. Chercher à savoir si je serais vraiment capable d'utiliser le mp44 aussi bien que frérot (c'est ti dans le sang ou c'est ti pas là?). Savoir si j'ai perdu de mon talent à gunshoter, prétendre au titre de sniper d'enfer (parce que j'ai l'oeil, partout, j'ai l'oeil). Je voyais la tuerie. Je me disais pourquoi pas. Ressortir ma scie ronde. Ça serait jubilant pour les outils. Monter une milice dans ma banlieue. Rider avec une troupe de pères. Et puis oui la minivan c'est un abri intouchable. Symbolique nouveau genre. L'attaque zombie. Pour polir le métal rouillé.
2 Révérence(s):
Une milice, t'es sérieuse? Et tes volontaires, tu les trouves au supermarché?
Par J. Walters, à 31/7/05 01:04
sorry...
Par Anonyme, à 19/11/05 13:58
Pour s'incliner
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