Au sujet de la solitude.
On me dit que suis solitaire. Parce que je me lance pas au devant des gens, parce que je suis pas celle qui a le cercle de dix-huit milliards, parce que j'adore pas toujours être entourée. Je considère parfois le temps à consacrer aux relations sociales comme le temps passé à manger. En perte alors que je pourrais tellement.. Mais parfois, consacrée, ça me rend si bien, si contente et au sourire comme le soleil sur l'eau. Ça lumine.
Yen a qui ont déjà dit qu'une femme ne peut que danser magnifiquement. Qu'une femme qui danse est toujours irrésistiblement sexy. Je sens qu'yen a qui ont toujours aimé idéaliser la femme. La foutre en personnage comme le reste des vies. Parce que le rêve est plus beau.
La danse. Tiré du pouls de la musique. Les notes alcool puissant. Qui s'imbibe dans le buvard. Qui lèche le papier plus fort que le vagues. Surtout qui coule, s'enrobe toujours plus beau que les graisses, qui s'associe aux bulles savons sur ma peau, sur l'humide dans la douche. Qui contraste pâle. Transportée d'une virvolte. Et tout ça assez fort pour bouger les pas sans ballerines sanglantes aux pieds, m'emporter aux confins du moderne superbe, m'allonger sous les classiques valses autrichiennes. Même le sourire est de trop. Les mots du bonheur ou malheur, de l'heureux temps, on s'en fout. Cataractes qui recouvrent l'oeil, puis tout le reste. Résonance une note, deux, trois. Paf. Le vent dans chaque forme. Le rythme pas seulement un aller-retour, une boucle, un fluide de chi. Nan. Plus loin encore qu'être, plus loin encore que le bassin d'un bassiste.
Au sujet de la solitude, cataractes du rythme.
Je raconterais bien l'histoire de l'héroïne dansante
De la ballerine
Du magnolia sur l'eau
Mais j'ai louché entre mes seins.
Yen a qui ont déjà dit qu'une femme ne peut que danser magnifiquement. Qu'une femme qui danse est toujours irrésistiblement sexy. Je sens qu'yen a qui ont toujours aimé idéaliser la femme. La foutre en personnage comme le reste des vies. Parce que le rêve est plus beau.
La danse. Tiré du pouls de la musique. Les notes alcool puissant. Qui s'imbibe dans le buvard. Qui lèche le papier plus fort que le vagues. Surtout qui coule, s'enrobe toujours plus beau que les graisses, qui s'associe aux bulles savons sur ma peau, sur l'humide dans la douche. Qui contraste pâle. Transportée d'une virvolte. Et tout ça assez fort pour bouger les pas sans ballerines sanglantes aux pieds, m'emporter aux confins du moderne superbe, m'allonger sous les classiques valses autrichiennes. Même le sourire est de trop. Les mots du bonheur ou malheur, de l'heureux temps, on s'en fout. Cataractes qui recouvrent l'oeil, puis tout le reste. Résonance une note, deux, trois. Paf. Le vent dans chaque forme. Le rythme pas seulement un aller-retour, une boucle, un fluide de chi. Nan. Plus loin encore qu'être, plus loin encore que le bassin d'un bassiste.
Au sujet de la solitude, cataractes du rythme.
Je raconterais bien l'histoire de l'héroïne dansante
De la ballerine
Du magnolia sur l'eau
Mais j'ai louché entre mes seins.
0 Révérence(s):
Pour s'incliner
<< Manoir