vendredi, septembre 30, 2005
mercredi, septembre 28, 2005
Celui que je ne nie pas, c'est Holden Caufield.
dimanche, septembre 25, 2005
Juger.
vendredi, septembre 23, 2005
Faudrait pas que je sois enceinte, le bébé aurait déjà le cancer.
jeudi, septembre 22, 2005
Ok bébé. J'ai le feu aux couilles.
mardi, septembre 20, 2005
L'ennui.
2 Révérence(s):
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Hey Miss!
C'est pas bon, je prend déjà tes expressions, erm.
Deux choses : peu importe que ça change quelque chose ou rien dans ta vie : j'aime te lire, bon!
T'es mon idole littéraire au cégep, tu l'sais bien :)
Deux : J'suis aussi pas mal certaine que tu ferais une (très) mauvaise lesbienne.
Essaie plutôt de devenir gauchère, j'peux te donner des cours!Par 20/9/05 21:21
, à -
Les auteurs ne se possèdent pas. N'ont pas le droit. Texte écrit, texte lancé, doit voler. De lui-même, les ailes portées par l'ère...
Tu veux pas? C'est ton droit! Personnellement je dis que t'es pas assez intelligente pour juger de la qualité individuelle de tes textes.
J'ai un livre à te faire lire. ABSOLUMENT. Comment je peux te le faire parvenir?Par J. Walters, à 22/9/05 11:25
lundi, septembre 19, 2005
L'ironie du sexe.
vendredi, septembre 16, 2005
Je sais je sais (je suis).
5 Révérence(s):
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Il demande tant d'efforts de connaître quelqu'un, pour être ensuite, presque assurément et irrémédiablement déçu. Alors quoi...
T'es libre demains soir, qu'on profite de la futilité de la vie?Par J. Walters, à 17/9/05 16:50
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demain sans s.
Par J. Walters, à 17/9/05 16:51
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et tandis que j'y pense, avec.
Par J. Walters, à 17/9/05 16:52
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Je m'amuse à jouer et c'est un grand plaisir que je ne m'enlèverais surtout pas. Mais c'est pas du jeu dont je me plains. C'est le regard qu'il me donne sur l'humain, et malgré mon mépris de longue date, j'ai encore terriblement mal de réaliser que l'homme est si faible et si stupide. C'est ça qui me fait chigner. Parce que pour tout le reste, c'est totalement assumé. Sinon, ça serait que huit vies de regrets.
Et oui, voilà, suis née comme éternelle insatisfaite, la vie que de désillusions. La futilité de la vie, c'est pas mal tout ce qu'il reste..
Oui.
Demains.
Avec des èss.Par reine laurence, à 18/9/05 00:04
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demains sont longs dans le mépris et l'isolement. Mais tu souffres encore et, ça, c'est rassurant.
meilleure des chances à toi.Par J. Walters, à 19/9/05 16:19
jeudi, septembre 15, 2005
mardi, septembre 13, 2005
À me convaincre.
Se délecter du pire.
dimanche, septembre 11, 2005
C'est jamais vraiment voulu.
jeudi, septembre 08, 2005
De nos rêves exiguës.
Je t'ai créé mon amour comme tout autre, avec la passion des débuts, avec l'amertume décisive de la fin, et toujours ces lettres qui nous éloignent. Je t'en veux, c'est certain, d'être parti sans rien dire, sans rien m'informer, en me laissant seule, sans rien savoir. En vivant sous ton règne de blanc. Je t'en veux d'être encore plus loin que je t'avais créé. De t'être perdu de moi. Tu es plus profond que mon ignorance. Tu mérites pire que mes pauvres lettres de fins, morfondues.
Je me suis donnée les mêmes passions que toi. Je suis devenue ta pareille. Je t'ai plagié jusqu'au profond de ta moindre cellule. J'étais là. Je suis là. J'ai fait l'idéal jusqu'à ton monde. J'ai perdu mes passions à tes doigts.
À chaque lettre je prends la chance qu'on nous découvre. Qu'on nous mette ensemble, une fois pour toute. Qu'on nous rapproche jusqu'au savoir. Je prends la chance que ma supercherie gagne. À chaque lettre, je nous risque un peu plus de ma folie, je tends la mince ligne de mon subterfuge.
Bien sûr toute notre histoire est là, belle, tragique. Je suis la pauvre qui ventre à terre t'a couru aux mollets. Je suis la terrible romantique forcenée qui s'invente des histoires de petite fille de onze ans, dans son petit lit. Des histoires de fleurs et de coeurs, avec quelques baisers, c'est certain. Romantique à mes histoires rose bonbon, toutes dégoulinantes de cliché d'amour. Notre histoire qui rend mon petit coeur un peu moins froid, un peu moins dur.
Moi qui t'ai inventé de toute pièce d'un amour sublime pour pouvoir dire, moi aussi, que je connais l'amour. Pour pouvoir crier sur les toits, moi aussi, que j'aime à la folie éperdument. Pour raconter que sous mes couches de terreurs, j'ai bien un petit coeur un peu chaud et un peu mou, qui attend toujours le retour de mon amour bien à moi, mon petit homme, mon passionné, mon toi. Je t'ai façonné pour la réplique, comme acteur secondaire, comme argument au besoin. T'as disparu. T'as répondu à mon besoin d'être triste parce que mon homme ne reviendra peut-être plus, il ne le savait pas, il n'a rien dit.
Je t'ai créé de toute pièce pour ne pas être laissée pour compte, moi non plus. Pour proclamer savoir aimer, moi aussi. Je les aimerai tous comme toi tu aimes. Jusqu'à ton retour. En attendant, je ne peux que t'écrire des lettres de fins. Pour te cracher ma fureur. Pour oublier comment j'ai peur qu'on nous retrouve, ensemble, perdu dans mon imaginaire.
3 Révérence(s):
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Je m'excuse à toi pour les erreurs passées. Ce texte est ce que trop de filles auraient pu me dire. Maintenant, je comprends...
Par R-ami, à 12/9/05 13:09
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Mais pourquoi s'excuser à moi?
Je ne comprends pas quelles erreurs..Par reine laurence, à 13/9/05 20:43
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d'avoir accepté... accepté de devenir important au point de s'oublier comme entité.
Bref un texte qui mérite une longue vie.Par R-ami, à 14/9/05 01:30
5 Révérence(s):
et s'il décide de le faire?
Par max cat, à 2/10/05 08:50
J'ai peur d'aimer trop ça.
Et serais donc corrompue.
Par reine laurence, à 2/10/05 22:22
Humain : espèce qui s'encule à qui mieux mieux et se plaint après-coup maladivement des déchirures douloureuses ainsi que des douleurs et maladies déchirantes.
Par J. Walters, à 3/10/05 15:27
Pour une jeune femme qui a lu «Les Instituteurs immoraux», vous n'êtes pas très curieuse.
À la prochaine?
Par max cat, à 7/10/05 19:07
Veux pas me faire enculer pour autre raison que le plaisir. Et là, j'ai pas encore eu d'invitation..
Par reine laurence, à 8/10/05 16:53
Pour s'incliner
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