Faudrait pas que je sois enceinte, le bébé aurait déjà le cancer.
Britney Spears chante: "And when you say those words/It's the sweetest thing I ever heard."
Et puis là c'est toute l'histoire des regards. Quand le regard devient fou, vaguement délirant. Quand le visage se transforme en psycopathe profond. Ça dit que rien pourra l'arrêter. C'est calme maintenant, mais ya pas d'anticipation possible de ce qu'il pourrait faire. Enfin une excitation plus profonde peut naître. Se laisser aller parce qu'analyser est inutile. Totalement.
Je n'arrive pas à me calmer complètement. J'ai du stress. Malsain. J'ai jamais si bien dit qu'au cumshot à paraître: Ici, le sexe est politique. Mon seul regret est de ne pas être parfaite. C'est difficile, j'ai tendance à tout cacher. J'accepte avoir des défauts. Mais j'horreur que quiconque soit désillusionné à mon compte.
Je lutte contre la fusion du corps et de l'esprit. Si tout est séparé, peut-être alors c'est plus facile de trancher, d'oublier l'ambiguïté. J'ai tous ces petits rôles intérieurs, tous ces scénarios à jouer, où je ne suis pas vraiment moi, mais où le temps est tellement meilleur, où la vie semble plus drôle encore. Si j'ai tout ce pouvoir d'imagination, je vois pas pourquoi me cacher sans la vivre. Pourquoi seulement tout foutre ça dans des romans débiles ou des vidéos qui valent qu'à cracher dessus. J'aime mieux me faire mon théâtre à moi et jouer comme la plus merveilleuse des actrices.
Je ne recherche pas l'intimité de mon public, des autres. Je ne veux pas être proche. Je veux une complicité. Je veux pouvoir jouer avant d'échanger des souffles dans l'oreille. Je veux du loufoque et c'est que part là que devraient passer les regards par en haut.
Je dors mal. Parce que le sexe est politique. Comme tout le reste. Je ne fais jamais rien pour rien. Ma survie, moi, pas juste au bout. Moi partout. Quelqu'un va trancher à mon sujet. La visualisation est à proscrire. Mon intellect doit flancher. J'ai pas tout décidé.
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Pour s'incliner
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