Sélectivité annoyante.
J'ai regardé des perspectives de programmes universitaires aujourd'hui. Je me demande si je fais pas aussi fausse route en littérature. J'étais quand même autant passionnée en cinéma. Avant que je déteste ça. J'ai peur d'adorer seulement par l'univers qui s'offre. C'est tout de même un milieu, pas nécessairement sélect, mais un monde, tout le monde n'y a pas accès. Il y a toujours une bande d'initié. Est-ce que c'est plus ça que je recherche, sans m'en rendre compte? Je crois pas. Mais ça pourrait. Comment vraiment savoir, alors que je me cacher si bien des choses même dans moi? C'est moche. Je crois que j'aime vraiment ça. Si je ne suis pas passionnée, alors ça n'en vaut pas la peine. Juste à rester cloîtrer chez moi, à écrire comme une forcenée, sans me prendre la tête dans ce tourbillon de sélect littéraire. Mais. Mais. Mais. Si ça me manquait pour me faire évoluer. Est-ce qu'on a besoin d'un milieu favorable pour évoluer, pour s'améliorer? J'ai tendance à croire que ça amène le courant mode. Mais. Mais. Mais. Le milieu. Le juste milieu. J'en veux pas. C'est pas des idées pour moi ça. Ce que j'entrevois de plus plausible, dans ma confusion de l'instant est la troisième extrême; l'indifférence. Aller, parfois pas, à des lectures de poésies, à des événements spéciaux. Prendre les jugements, mais pas toujours. Monsieur Poupart, je tiendrai mon point, je le mettrai où je veux, même si maintenant en poésie, on ne ponctue plus.
1 Révérence(s):
Il est beau ce blog. Relax comme tout. Et j'aime bien ta dernière ligne.
Par Anonyme, à 28/1/05 03:44
Pour s'incliner
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