Ah, totu bouger!
Le déménagement est partiellement effectué. Tout semble plus ddifficile que ça l'a été. Rien n'est pareil. Jusqu'à tomber, épuisée, en pleur dans les bras de maman. N'avais jamais pleuré avant. C'était terrible. Mais la vie semble plus belle. Les couleurs s'affichent sur mes murs, ça me rend mieux. Les rythmes d'été rentrreent dans l'engrenange, bien que je déteste la chaleur sourde à mes cris, j'aime le rythme au ralenti que tous s'imposent au nom des belles journées. Pour ma part, je saute à deux ou trois boulots, travailler sans cesse, pour remplir mon nouveau chez moi de mignons petits objets super déco, rendre ça comme un magazine branché, mais croche. Passe que tout est croche chez moi. En prévision des nuits très saoules. Je rentre finalement dans l,obligation de jouer la décoratrice, chez moi cette fois. Ç'avait jamais eu lieu. Alors ça me plaît, mais j'ai le stress du bon goût qui me hante. Et mes tonnes de style qui se bousculent. C'est que j'arrive pas à être unique, j'arrive pas à cadrer une sorte de laine, me daut de tout, mais c'est là que le plus de travail allume, plein de nécessité. Mais ça m'amuse de penser que tout sera beau. En fait, le pire, c'est de penser à ce que les autres en diront, passe que ça risque de mettre en cause ma réputation grandiose d'aide au bon goût. Qui sort, sincèrement, de je ne sais où.
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Pour s'incliner
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