J'ai été critiquée.
Je pensais que lorsqu'on parlait d'immaturité à l'âge adulte, on faisait surtout appel au déni des responsabilité, au coeur d'enfant et au désir de conserver les plaisirs de jeunesse. Je me demande s'il faut associer l'immaturité plutôt avec un certain manque de savoir vivre. Comme si on retournait rigoler à la petite école. Faut les voir s'amuser encore à pourchasser les petites filles, à pourchasser les petits garçons. À se lancer des pierres, juste pour rire. Voilà, j'ai été abusée par mes réflexions, je ne m'y attendais pas. J'ai toujours le look un peu déglingué ces temps-ci, et même toujours. Toujours à la limite de ne pas être jolie. Juste assez de négligé pour que tout reste correct, pour que les gens me trouvent quand même bien mise. Et je sais que je pourrais faire mieux. Voilà, quelqu'un m'a lancé une horreur au visage, contre mes oreilles en chaleur, et moi rien ne m'atteint sinon l'étonnement que ça arrive. Que le joli garçon du 2e étage me lance la mesquinerie sans raison, sinon pour être plusse cool. J'ai assez de ressentiment. Je ne l'aime pas, je ne l'aime plus, avec ses cheveux comme la mode de 3 ans. Voilà. Et moi, je me trouve mignonne avec ces bottes un peu trop grande, qui me font de plus gros mollets, parce que les miens sont trop petits pour tout ce qui est moulé au général.
1 Révérence(s):
Je suis certain que ton voisin retro aimerait bien, entre ses mots postdatés, que tes bottes se terminent aux genoux. Mais il risquerait de ne plus savoir quoi faire.
Par Anonyme, à 11/2/07 02:47
Pour s'incliner
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