Ze manoir

vendredi, décembre 09, 2005

La mort de ma belle. (le sperme froid et la fin du plaisir.)

La dernière parution du journal du collège est sortie cette semaine. Finalement, ma chronique paraît sans trop de troubles. Ont dû se rendre compte qu'il manquait une saveur particulière, de la chaleur dégoulinante, manquait moi. Alors ya eu sans mot dire mon dernier cumshot. Dernière chronique de n'importe, jusse un peu cru. J'ai mon deuil à faire. Yavait tellement de plaisir à aligner les mots, à voir les regards des jeunes, semblant d'émerveillés, les yeux ronds du moins. C'était sûrement pas révolutionnaire, pas nouveau genre, même pas si choquant, mais c'est pas l'important. J'avais du plaisir terrible et puis, si j'ai pu faire avancer l'ouverture des gens, ça me fout un sourire. Mais là, j'avais décidé que même si l'ensemble n'avait pas tout été dit (passe côté imagination dérive sexuelle, ça jamais cessé), fallait passer à autre chose. Pour me tester. Pour pas rester prise avec les mêmes mots, toujours. Faire voir que l'intérêt à mes histoires se limites pas à des vagins et couilles tordues. Connais beaucoup mieux. Continuerai à écrire, question de me filer une discipline. Ai déjà ma prochaine bannière. L'idée vague. Suis terriblement excitée. Compte clencher des culs. Espère que les gens suivront. En une maigre session, cumshot était déjà une institution. Dernière parution, croyais être la seule à me faire un nanane, simple description d'un cumshot sur mon visage tout frais, mais nan. Un mec fait un anti-cumshot, texte total romantique cheezy où on se gène à dire clitoris. L'autre, encore plusse mongol à me tirer hommage, intitule sa bannière Slapshot, écrit par Roi Laurent. J'y ai trouvé une similitude. Mais bah, le texte, rien de très mordant, ni même suintant. J'aime l'attention qu'on me porte, pour le seul plaisir d'avoir tout fait avec des mots, filer un mystère-réputation. des mots et mon cul tight qui se montre presque jamais. Au collège.

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Pour s'incliner

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