Ze manoir

lundi, novembre 28, 2005

Quote-souvenir.

« Je dis des connasses qui savent pas que la chair c’est un plaisir, qu’ya des choses à déguster. Pas besoin d’un grand restaurant et des plus fins succulemment du palais pour qu’un mec soit intéressant. Ya jusse à sucer son gland. Des pimbêches sans talons hauts qui défendent fort l’excision, mais qui toutes seules chez savent même pas s’inspirer avec leur clitoris. De toute façon, c’est de la manipulation. Pointer ses mamelons et se rouler la bille, c’est interdit. C’est comme avouer au mec qu’on ne veut que le branler fort pour avoir toute sa dèche dans ma face. Ce serait perdre le féminisme. La semence doit aller aux poubelles.

Alors je dis connasse mange ma raie suce mes couilles même si j’en ai pas je sais que t’aimerais trop ça broute ma pantoufle et étouffe-toi. Je veux trancher la gorge de personne, le vampire c’est pas moi, préfère qu’on boive le mien, vampire lesbien oui, ici, à mes trousses. Léchée jusqu’à l’aube, je m’endors tranquille, passe que réellement, j’en ai rien à foutre des autres, du moment qu’ils me laissent mon droit de filer des érections à qui j’en ai envie, me faire taire serait comme détruire tous les bars de danseuses de Montréal. En ai rien à foutre, sauf pour un. Maintenant cumshot se meurt, je deviens exclusive, j’ai l’amour à fleur de peau, je saigne, j’ai trop baisé.

Un nanane pour prendre congé en beauté, pour me laisser sur une hight note plutôt que de dépérir aux confins de la fidélité. Faut savoir ajouter de la romance dans son couple. Quoi de plus près du désir de la femme d’avoir des enfants que de se retrouver avec tout le sperme de son mec tout chaud sur son visage. La future progéniture dans une caresse tendre. C’est beau l’âmow.

Fallait éduquer mon copain, lui faire savoir qu’il pouvait venir ailleurs qu’au long de mon vagin, faire autrement que me laisser les cuisses visqueuses de son « je t’aime beubé ahhh ». J’lui ai crié : « Tu me fais ça dans face cette fois-ci, en ai marre te pas pouvoir te goûter plus souvent, aller, viens me chauffer les yeux, tu sais que la douleur m’excite. » Il s’est branlé au dessus de moi qui souriait, déjà jouissive du plaisir à venir, enfin, un cumshot jusse pour moi, tout pour moi, surtout, sur moi. »

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