Le souffle.
Je commence à voir que le stress me gagne. Qu'il me fait des effets. Pas toujours désirables. Bien que pas si mal non plus. C'est que je vois le travail à faire pour les cours, et ça me mange un peu. C'est pas trop compliqué, mais j'ai aucun repère, je sais pas comment les egns vont réagir à mon type de savoir. Et j'ai bien peur d'échouer. Sûrement pas, mais de décendre à la moyenne, ça m'affecterait. Je vise d'être la meilleure, alors c'est difficile à prendre, l'insécurité. Mais je mets des efforts, bien que l'ensemble des choses que j'apprends est différent, alors ça ajoute de la difficulté. N'arrive pas à reconnaître le style des professeurs, me sens éloignée des potins d'inter-classe, alors ne peux plus jouer sur les goûts caractéristiques. Tout ça, ça m'amène à avoir peur. À penser que mes bourses seront plus loins qu'à ma main. Alors m'investir dans une voie qui pourrait ne pas me reconnaître, comment décider d'y rester. Mais me dis que la première évaluation n'y est pas encore, qu'il reste du temps à s'adapter. Par contre, chaque faux pas marque. Tout ces idées, ma vie pauvre et déchue me hante en futur qui rattrape et fait mal sans chaussures adéquates. Le stress ne me dévore pas une boule au ventre. Il m'enlève la faim. Je mange moins, ce qui est bien, mais par la suite, c'est le stress de savoir que n'ai pas mangé assez dans ma journée, mais en même temps, ne veux pas manger plus que ma faim, sinon c'est être grosse qui arrive, alors j'ambiguë et ne sais plus quoi faire, me replonge dans mon livre pour oublier mes idées mais surtout passe que c'est que ça que j'ai à faire, l'ensemble me laisse encore dormir, trop pour tout ce que j'ai à faire. Je commence à être comme les mères de personnages de romans.
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Pour s'incliner
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