Mal aristocratique.
L'horreur la maladie se rapproche. Me rattrape. Phase dépressive. Au moins j'épargne les copains en foutant tout ici, en mettant les pires mochetés de ma pensée. Je divague ici, je chiale comme pas possible, je m'appitoie, j'erre dans le sentiment qui m'habite. Là ya que le vide. La musique l'écriture le roman, rien. Rien qui vaille. Tout m'horripile. Me resterais que le work out, mais là aussi on plafonne. Je retournerais me coucher tant la mocheté. Quand on dort on ne s'ennuie pas, du moins. Et je réussi même à faire des rêves passionnants. Wow. C'est ce qui a de plus passionnant dans ma vie. Ouh! Ouep, me faudrait vraiment un divertissement majeur, parce que là, c'est vraiment le pur et simple ennui qui attaque. Pathétique. Vraiment, je répète, les aristocrates avaient le pire mal du monde. L'ennui, ça tue tellement plus que tout le reste. J'essaie de me remonter le moral en me disant que frérot est tombé en admiration devant mon écriture. Tu devrais lire plus souvent, frérot. Ya rien d'exceptionnel. Surtout pas cette merde. Rhalala. Ce soir est mieux d'être total passionnant, parce que moi j'ai des tas d'attentes. Les soirées à la SAT, en général, ça clanche des culs. Surtout un thème amazone, quoi de mieux, de plus inspirant.. Bestial et chaleur. Si ça me ranime pas, même pas un peu, alors mon j'abandonne. Je me laisse tomber dans le premier divan venu et j'attends de prendre 300 livres. Voilà. |
1 Révérence(s):
Tu veux un café? Pas de lait, pas de crème. Noir.
Par Anonyme, à 6/2/05 02:31
Pour s'incliner
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