Ze manoir

lundi, mars 06, 2006

Ils auraient ri si je leur avais bouffé l'aorte?

J'ai lâché le cinéma comme de rien, à peine une petite traînée, des souvenirs, parfois. Ça grognait pas fort dans mon tête face à tout ça, j'avais bien envie d'être passionnée, mais en fait, c'était les machines qui m'excitait hard, le reste, du pseudo-art rempli de pitounes qui veulent devenir animatrices ou serveuse dans un bar. Tss. Suis tellement au-dessus de ça. Snober les pseudo-snobs de l'image, les pseudo-histoires, le pseudo-art oui, les pseudo-beautés, le pseudo-intérêt, pseudo, pseudo, pseudo, rhalala, TOUT EST SI FAUX!! Ma quête de vérité dans l'art a été totalement déçue, déchirée, ramassée en tas à pire que bouillie de chat. Plus rien à faire. On (je) m'avait promis des trésors impossible, me suis fourrer dans mon tête trop d'espoirs irrévérencieux. Genre qui me foutent en l'air de penser réaliser. Mais nan. La vie est duuuuuure! Le destin ne veut pas de moi! Personne ne m'aime! Mais où vais-je? Me suis comblée à ronger l'ordinateur pour éclaircir tout ça, à ranger, à classer, à mélanger tous les effets pour me pseudo faire un monde à moi. Pseudo. Encore. C'en était fini. Ai conservé ma caméra vidéo sans jamais me servir aux grandeurs de l'ART à faire de l'infini en prenant les nuages en vérité, en léchant un tronc d'arbre pour filer l'antithèse profonde de la pauvreté dans le monde urbain. Bla bla. Et enfiler des mots qui veulent rien dire, à la tonne, pour assomer, pour cracher ma colère face au monde, comme une adolescente qui se trouve plusse belle en criant les yeux rouges de pleurs, qui trouve que le sang lui donne total du teint. ARRÊTE DE PORTER DU NOIR!! T'es grosse quand même, connasse.
Du moins.
Continue tout de même un restant de vidéo, question de tous les tordes à mes images.
On annoncera bientôt que nous sommes de mecs.

1 Révérence(s):

  • **Ai conservé ma caméra vidéo sans jamais me servir aux grandeurs de l'ART à faire de l'infini en prenant les nuages en vérité, en léchant un tronc d'arbre pour filer l'antithèse profonde de la pauvreté dans le monde urbain. Bla bla. Et enfiler des mots qui veulent rien dire, à la tonne, pour assomer, pour cracher ma colère face au monde, comme une adolescente qui se trouve plusse belle en criant les yeux rouges de pleurs** (!!!!!!!!!!!)

    Woot nice words

    Julius

    Par Anonymous Anonyme, à  7/3/06 15:54  

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