Ze manoir

vendredi, août 26, 2005

Au collège je laisserai peut-être les hommes tranquilles. Un instant.

Pourquoi les choses ont à être si faciles quand on essaie soi-même de s'entraver le chemin? Oh yeah, grand questionnement au destin. Bah, au fond, les choses sont drôlement bien faites. touours ce cuisinier de mon job. Qui, j'avais terriblement raison, pensait que c'était moi la petite salope qui l'avait attirer pour lui fourer que des ennuis professionnels. Ben nah! Peux m'amuser à faire l'agace, mais là, j'avais pas comme but de ruiner sa vie. Faut savoir rester fixe dans ces choses-là. Donc les interdictions de relations venaient de ma supérieure. Mais là, ya la patronne qui revient de vacance, trouve ça stupide et s'indigne de l'ambiance de merde. Ça yest, pas besoin de plus, la jeu est recommencer. On est des vrais footballeurs de la stratégie et du contact. Peu avant, on m'a quand même fait une inquisition en règle, mais bordel, me suis pas plainte, allons mon choux je t'adore voyons. La routine repogne chez les pâtissiers, mais il accepte mal que j'aie toujours raison. Il adore ça, on échange, il sent le flow, surtout il me voit belle et forte, un pillier pour l'empressement du relâchement. Aujourd'hui, excédé, il m'a prédit l'avenir de vieille fille, parce que personne pourrait me suporter (bon, ça je suis pas d'accord, ya plein d'hommes mous prêts à supporter n'importe pour se faire vivre en sécurité sociale. Faut pas surestimer.) Donc moi vieille fille. J'aurais peut-être dû lui sauter dans les bras, mignonne et pleurnichant s'il veut bien aider à mon cas, que je ferais tout tout pour lui jusqu'à être qu'une jolie oui-oui. Nan. J'ai préféré sourire, jubilant une fois de plus. Parce qu'il prend encore la peine de m'étudier, de me réagir en me projettant. Il fantasme quoi.

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Pour s'incliner

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