Ze manoir

vendredi, octobre 28, 2005

Ô my french babydoll.

Je continue dans ma french touch, élégance et indépendance. Je revêts le mystère et ça me va bien. Je me rends de plus en plusse compte que j'ai ce quelque chose avec les mots, j'ai ces petits mouvements avec mes cils qui rendent désirable tout ce que je peux bien déblatérer. Parce que en fait, c'est pas ce que je dis qui intéresse. Plutôt pouvoir me fixer avec mes lèvres qui bougent. Mais tout ça on s'en fout. C'est amusant, mais ya pu grand chose à prouver. Ou plutôt, pu vraiment de défi. Mon moi en french babydoll. Pour être silly. J'avais décidé d'être silly. Parce que c'est amusant. Parce que j'ai pas toujours envie de penser. Parce que réfléchir menait à rien. C'est ce que je fais. Je flanche mes cours. Je me ruine de tous les aspects. Les revues de mode. Plein de revues de mode. Même ma revue littéraire sera comme une revue de mode. Avec du papier glacé. Je me décrisse profond. Je m'amuse beaucoup. Je m'épuise. Je tue mon corps. Ça s'appelle même pas malsain. Parce que c'est trop fun. Je perds du poids. Mes cernes se creusent. Je souris toujours, par contre. Je fais juste être amoureuse de mes vêtements. J'adore mes possessions matérielles. Ça me permet de bouger, de m'enfuir derrière ce mur d'apparence. J'ai peur d'être trop touchée. J'ai peur de ma fragilité du moment. J'ai peur dans ce que je pourrais m'embarquer. J'ai peur de pas tout savoir. Mais j'ai décidé le silly. Ça entre pas trop profond. Parce que je pense pas. Je sais pas où je me mène. Et ça m'amuse. Ça m'excite terriblement. Je plonger dans le noir. Parce que j'ai trop tendance de tout contrôler. C'est si facile. Je manipule so mieux qu'un marionnetiste. J'ai envie d'autre chose. Faire changement. On fait peut-être jamais le tour complètement de quelque chose, mais je peux plafonner. Et même si pas, j'ai à bouger. Parce que j'ai toujours dis que j'ai besoin de personne pour me réchauffer dans ses bras devant un film. Nan. J'ai des couvertures pour ça. Et là, silly, ça sonne comme des vagues. Ça bouge haut d'au moins dix mètres à la fois. J'aime ça.

1 Révérence(s):

  • J'aimerais presque avoir ton audace. Ai tenté maintes fois cette expérience et j'ai échoué maladivement. Parce que tu vois, à un certain moment, je m'y perds, et MOI refait surface. Et la protection, plutôt que d'être transpercée par l'extérieur, elle explose, le mouvement part de l'intérieur et fissure cette carapace là. Parce que j'y suffoque.

    Alors j'ai choisi la sensibilité controlée... mais bon j'y suis pas encore très bon...

    Keep on playing, beubée. ;)

    Par Blogger J. Walters, à  29/10/05 17:09  

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